Les secours sont intervenus pour sauver la collégienne, décédée dans l'après-midi...
Une adolescente de 14 ans est décédée ce jeudi suite à l’attaque au couteau de deux élèves par un individu aux antécédents psychiatriques dans leur groupe scolaire à Souffelweyersheim en Alsace.
Ce jeudi, à Souffelweyersheim en Alsace, un homme âgé de 30 ans, connu pour des « fragilités psychiatriques » a attaqué au couteau deux fillettes dans leur collège, selon le parquet de Strasbourg.
L’homme a pu être interpellé mais les dommages sont dramatiques.
Un groupe scolaire entier est sous le choc de cette attaque qui a blessé physiquement légèrement ces deux petites filles et qui a également entrainé la mort d’une collégienne confinée suite à cette attaque, décédée d’un arrêt cardiaque.
« Un épisode de stress très fort qui a abouti à cet arrêt cardiaque »
Suite à l’attaque au couteau de l’assaillant, une alerte avait en effet été lancée par le directeur de l’école primaire pour que tout le groupe scolaire comprenant école et collège mette en place la procédure de confinement.
« Nous avons mis en place la procédure de confinement. Les enseignants l’ont fait de manière extrêmement précise et rigoureuse, et malheureusement cette collégienne a connu un épisode de stress très fort qui a abouti à cet arrêt cardiaque », a précisé le recteur.
En effet, sous le choc, la jeune fille est tristement décédée. C’est un drame pour toute l’école.
« Elle avait été secourue par des enseignants, qui très vite ont appelé les services de pompiers. Elle est décédée en fin d’après-midi », a souligné le recteur d’académie Olivier Faron à l’AFP.
« Nous sommes atterrés, sans voix… »
« Ce sont des procédures bien rodées, nous travaillons de manière très étroite avec la préfecture, nous avons été présents sur place extrêmement rapidement. Il n’y a aucune solution parfaite, et nous analyserons en profondeur ce qui s’est passé. S’il y a des enseignements à tirer, nous les tirerons. Mais les enseignants ont vraiment fait le nécessaire », a-t-il ajouté.
Et Georges Schuler, le maire de Reichstett, ville où résidait la collégienne, d’indiquer : « Nous sommes atterrés, sans voix… Il y a une enquête en cours, je ne peux pas vous dire si cette jeune fille présentait une pathologie cardiaque ou pas ».
C’est fou comme il y a des gens avec des problèmes psychiatriques en liberté aujourd’hui. C’est fou, mais c’est aussi très curieux, vous ne trouvez pas ?
Bien oui comme cela ils échappent à la justice , s’ils sont malades il faut les enfermer à vie..