@AdobeStock
Ce jeune garçon de 18 ans a été jugé par le tribunal d’Angoulême, lundi 19 février, après avoir été interpellé dans une cave dans laquelle il vivait depuis deux ans et où il surveillait l’argent et la drogue d’un groupe de trafiquants.
Il se retrouve à la rue
Un jeune homme de 18 ans, retrouvé par la police, alors qu’il vivait dans une cave depuis deux ans, au milieu de cannabis et d’argent liquide, comparaissait au tribunal d’Angoulême, lundi 19 février. Il était jugé pour trafic de stupéfiants et pour avoir résisté violemment et outragé six policiers lors de son interpellation, car il a pris peur en les voyant arriver. Finalement, il a été condamné à douze mois de sursis probatoire renforcé. Une peine adaptée au vu de sa situation de vie chaotique.
L’histoire de vie de ce pauvre garçon est absolument terrible. Il est originaire de Mayotte et c’est sa mère qui l’envoie en métropole, point qu’il puisse trouver un travail et avoir une vie dans de meilleures conditions. Il vit chez sa sœur pendant deux ans, mais ils se disputent et il termine à la rue. C’est là que des dealers lui proposent de vivre dans une cave, pour qu’il garde la réserve de cannabis.
Pas d’eau ni d’électricité
Durant l’audition, il raconte aussi qu’il n’avait « pas le choix ». Près d’un kilo de résine de cannabis et 2140 euros ont été retrouvés dans la cave où il a été arrêté. Il était payé 100 euros par mois pour ce « service » rendu. Pour pouvoir s’acheter de quoi manger, il allait aussi vendre un peu de cannabis dans les rues.
Mais malgré sa situation, le jeune homme, qui a arrêté l’école en première, a rejoint une école de deuxième chance, grâce à la mission locale. Il avait ainsi obtenu un stage dans un magasin de bricolage, où il travaillait de 6 heures à midi. Puis, il retournait dans la cave pour surveiller la drogue. Il y passait le plus clair de son temps, sans eau ni électricité. Parfois, il sortait se laver dans la rivière, ou charger son téléphone dans une maison abandonnée.
Histoire à dormir debout « il vivait dans une cave depuis deux ans, au milieu de cannabis et d’argent liquide »… « Pour pouvoir s’acheter de quoi manger, il allait aussi vendre un peu de cannabis dans les rues. ». Violence et Outrage sur six policiers parce qu’il à eu peur en les voyant ».
Ce n’est pas un pauvre mahorais, c’est un dealer mahorais violent, au tribunal d’Angoulème il y a des imbéciles pour croire à une histoire pareille ?
Ce jeune homme vivait dans une cave pour surveiller l’argent et la drogue , mais quand il travaillait de 6h à midi qui surveillait » la drogue et le sale pognon « ? IL rechargeait son téléphone dans une maison abandonnée … quelle chance pour lui que cette maison abandonnée avait encore l’électricité et pas de chance pour lui qu’il n’ y ai pas d’eau !!!!
Bizarre … vous avez dit ….. Bizarre !!!
c’est la preuve qu’ici ce n’est pas plus rose voire pire parfois.
finalement en prison ou était certainement sa place rien ne lui serait arrivé
Sa place en tant que mineur mis à la rue par sa sœur n’était certainement pas sous la houlette de trafiquants mais aidé à faire ses études par l’aide sociale.
Il a montré que malgré cette horrible situation il a essayé de s’en sortir autrement. Sa place n’est pas en prison.
Oui vous avez raison , sa place n’est pas en prison mais chez lui à Mayotte !! Marre de voir tous ces déchets atterrir chez nous , tôt ou tard ils retombent dans leurs travers !!