Adrien Quatennens ©Alamy Images
Une nouvelle élection est-elle possible?
Oui, si Adrien Quatennens accepte de démissionner et de se représenter dans sa circonscription. Lundi 16 janvier, dans une interview donnée sur France 2, Braun-Pivet a émis l’hypothèse que le députée LFI, condamné pour violences conjugales, se représente devant les électeurs pour être «cohérent et exemplaire». Selon elle, il «doit s’interroger sur sa capacité à exercer pleinement sa mission en fonction de ces deux boussoles, qui sont l’exemplarité et la cohérence». Interrogée sur la possibilité qu’Adrien Quatennens se représente dans sa circonscription, la présidente de l’Assemblée nationale a répondu que c’était «une des solutions» et jugé que «de toute évidence» cela lui permettrait de retrouver une certaine légitimité.
Elle a ajouté: «Je crois en l’exemplarité et je crois en la cohérence. Lorsque l’on porte un message politique (contre les violences conjugales, NDLR), il faut l’incarner profondément dans ce que l’on est et dans ce que l’on fait», et ce même si «juridiquement ce parlementaire à tout à fait le droit de siéger puisqu’il n’a pas été condamné à une peine d’inéligibilité», a-t-elle relevé. «Je l’invite à être cohérent et exemplaire».
Le droit à une seconde chance
Yaël Braun-Pivet a justifié cette prise de position par le fait qu’«on a toujours le droit à une seconde chance». Pourtant les faits qui sont reprochés à Quatennens sont graves. Il a été condamné en décembre à quatre mois de prison avec sursis pour des «violences» sur son épouse et a été suspendu par son groupe jusqu’en avril. Il siège à l’Assemblée en tant que non-inscrit.
Pour être «cohérent et exemplaire». Selon Braun-Pivet, il «doit s’interroger sur sa capacité à exercer pleinement sa mission en fonction de ces deux boussoles, qui sont l’exemplarité et la cohérence». A émis l’hypothèse que le députée LFI, condamné pour violences conjugales, se représente devant les électeurs pour être «cohérent et exemplaire». Selon elle, il «doit s’interroger sur sa capacité à exercer pleinement sa mission en fonction de ces deux boussoles, qui sont l’exemplarité et la cohérence».
Donc, ce qu’il a fait n’est pardonnable que s’il se représente devant les électeurs ?? Et s’il est réélu, il sera pardonné… Arrêtez de dire n’importe quoi, il a été jugé et son parti en a remis une couche avec 4 mois de suspension supplémentaire et un stage. La Justice Républicaine ce n’est pas ça !
C’est AUSSI cet empaffé de mélanchard qu’il faut virer!!! Quand je pense qu’il y a des abrutis décérébrés qui ont voté pour cette crouille!
Son retour….ne passent pas.
Ce pluriel est singulier.
Son problème : mais que fera-t-il après, lui qui n’a jamais travaillé mis à part blablater ?
Quand on veut rester droit dans ces bottes c est la seule et la meilleure solution.certes on risque de perdre sa place et surtout salaire et avantages qui vont avec mais fallait réfléchir avant de gifler.