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Avion d'Air Algérie, image d'illustration ©Capture d'écran Le Point
Les relations diplomatiques entre la France et l’Algérie connaissent un nouveau tournant, marqué par une série de décisions controversées concernant le rapatriement des ressortissants algériens en situation irrégulière. Cette tension a été exacerbée par une récente note interne de la direction générale de la police nationale (DGPN), révélée par Le JDD et confirmée par nos confrères du Figaro. En effet, ce document révèle une nouvelle exigence de la compagnie aérienne Air Algérie. Cette dernière impose désormais à tous les ressortissants algériens expulsés de France de disposer d’un laissez-passer consulaire, même s’ils détiennent déjà une carte d’identité ou un passeport algérien en cours de validité.
Bruno Retailleau n’a pas caché son agacement
Cette mesure intervient dans un contexte déjà tendu, notamment après l’expulsion de l’influenceur Boualem Naman, connu sous le pseudonyme de «Doualemn», dont le cas a fait l’objet d’une vive polémique entre les deux pays. Cette nouvelle exigence de la compagnie aérienne semble constituer une entrave supplémentaire au respect des accords bilatéraux entre la France et l’Algérie, lesquels stipulent que le seul document d’identité valide doit suffire pour permettre le rapatriement. La situation soulève plusieurs interrogations. Ainsi, d’un côté, les autorités françaises rappellent que les accords signés entre les deux pays prévoient un rapatriement simplifié des ressortissants algériens, basé sur leur seul document d’identité. De l’autre, la compagnie Air Algérie impose une exigence qui pourrait retarder, voire empêcher, le retour des expulsés, compliquant ainsi le processus et provoquant des tensions supplémentaires. La note interne de la DGPN stipule que les forces de l’ordre devront désormais demander une attestation «systématiquement» auprès du chef d’escale de la compagnie en cas de refus d’embarquement. «En cas de refus de délivrance d’un écrit, l’identité du chef d’escale devra être relevée» d’après la note des services du ministère de l’Intérieur.
Alger continue ses provocations contre la France
Ici, ce processus va rendre les rapatriements plus complexes et poser des problèmes administratifs. Les exemples cités sont les cas où des divergences d’interprétation se produisent entre les autorités françaises et la compagnie aérienne. Toujours dans la même note, on peut y lire que «cette exigence supplémentaire et nouvelle déroge aux accords franco-algériens, le document d’identité en cours de validité permettant à lui seul de réaliser des éloignements». Si la France cherche à durcir sa politique d’expulsion, l’Algérie semble mettre en avant des considérations diplomatiques, parfois au détriment des accords signés, et impose de nouvelles barrières administratives. Cette crise soulève des préoccupations quant à l’avenir des relations entre les deux pays, surtout que la question de la libération de Boualem Sansal est balayée d’un revers de la main par Alger.
Le traitrise de De Gaulle envers des Français, en 1962, porte encore ses fruits.
L’Europe condamne la France pour le traitement des Harkis, mais personne n’ose dire que c’est De Gaulle qui en porte l’entière responsabilité.
Les relations envenimées entre l’Algérie et la France sont aujourd’hui les conséquences de sa politique désastreuse.
Il faut mettre fin aux aides envoyées dans ce pays, et abolir tous les accords signés !!! Que l’Algérie se démerde avec son peuple !!!
Et la question des retraites versées en Algérie à des anciens travailleurs algériens ayant exercé en France surtout dans les activités du BTP ? Ces retraites seraient toujours virées par les caisses de retraite dont ils dépendaient à des individus qui d’après leur état civil auraient atteint des âges canoniques, ceci faute d’avoir été informées par les autorités algériennes de leurs décès. L’air du bled conserve !
Cette situation est intéressante pour l’Algérie, pour les épouses et pour les enfants de ces « retraités » vivant avec l’aide française. Cette situation existe depuis plusieurs dizaines d’années mais l’état français a étouffé l’affaire pour ménager nos « amis algériens ». Qui paye les retraites de ces amis ?
Stopper l’envoi de fric dans ces pays surtout… Ils vivent de ceux venus toucher les allocs pour les gosses de leurs quatre épouses…