
Crise-Politique-France
La France traverse une période d’instabilité politique majeure. Alors que le ministre de la Défense Sébastien Lecornu a été chargé de mener des consultations avec les différentes formations politiques, les positions semblent difficilement conciliables. Entre appels à la démission du président, menaces de censure et propositions de cohabitation, le paysage politique français apparaît plus fragmenté que jamais.
Mission impossible pour Lecornu : trouver un consensus en 48 heures
Sébastien Lecornu se trouve face à un défi colossal. Le ministre dispose seulement de 48 heures pour négocier avec l’ensemble des formations politiques et tenter de dégager un accord de gouvernement viable.
Ce marathon diplomatique devra aboutir à des conclusions concrètes qu’il présentera à Emmanuel Macron mercredi soir. Une course contre la montre qui s’annonce particulièrement ardue au vu des positions antagonistes des différents partis.
La gauche divisée sur la stratégie à adopter
LFI et les communistes : deux approches distinctes
La France Insoumise maintient une ligne dure vis-à-vis du président. Manuel Bompard estime que « la composition d’un nouveau gouvernement n’est pas la solution » et réclame purement et simplement le départ d’Emmanuel Macron, que ce soit par démission ou destitution.
Le Parti Communiste adopte une approche plus institutionnelle. Pour Fabien Roussel, la priorité est que la gauche soit d’abord appelée au pouvoir par le président de la République, respectant ainsi le résultat des dernières élections.
Écologistes et socialistes : entre ouverture et fermeté
Les Écologistes, par la voix de Marine Tondelier, se montrent plus flexibles. Le parti se dit ouvert à plusieurs scénarios – démission présidentielle, dissolution ou cohabitation – avec une préférence pour cette dernière option.
Du côté du Parti Socialiste, Olivier Faure affiche ses ambitions. Il se déclare prêt à remplacer Lecornu à Matignon pour incarner un véritable « changement de cap » permettant enfin à la gauche d’accéder aux responsabilités gouvernementales.
La droite et l’extrême droite : entre blocage et exigences
Le RN et l’UDR : pour une nouvelle dissolution
Jordan Bardella et le Rassemblement National exigent une dissolution de l’Assemblée nationale. Sans ce préalable, le président du RN prévient qu’Emmanuel Macron sera « contraint à un moment d’engager sa propre responsabilité ».
Dans une logique similaire, l’UDR d’Éric Ciotti annonce qu’elle censurera « tout gouvernement » jusqu’à la convocation de nouvelles élections, contribuant à l’impasse politique actuelle.
Les Républicains et Horizons : des approches divergentes
Les Républicains, représentés par François-Xavier Bellamy et Bruno Retailleau, prônent une cohabitation avec un Premier ministre indépendant du parti présidentiel. Ils refusent catégoriquement de se dissoudre dans une majorité macroniste.
Le parti Horizons d’Édouard Philippe adopte une position plus radicale, favorable à un « départ de façon ordonnée » du président Macron. Ce scénario impliquerait l’adoption d’un budget pour 2026 suivie de l’organisation d’une élection présidentielle anticipée.
Renaissance cherche une voie de compromis
Face à cette situation complexe, le camp présidentiel tente de trouver une issue. Gabriel Attal et Aurore Bergé plaident pour un changement de méthode, la désignation d’un « négociateur » et la construction d’une coalition gouvernementale qui pourrait transcender les clivages traditionnels.
Le spectre d’une dissolution plane toujours
Si les négociations échouent, une dissolution de l’Assemblée nationale reste une option sur la table. Des élections législatives anticipées pourraient alors être organisées dès le premier week-end de novembre, les 1er et 2 novembre précisément.
Cette perspective ajoute une pression supplémentaire sur l’ensemble des acteurs politiques, alors que le pays fait face à de nombreux défis économiques et sociaux qui nécessiteraient un gouvernement stable et opérationnel.

Comme mon précédent commentaire à disparu, où je faisais part de mon inquiétude d’une nouvelle magouille politique. Est bien elle à lieux, entre ce qui reste de la macronie et les socialistes, qui avec leurs 1,75% veulent le pouvoir absolu, d’ailleurs ils sont déjà à la tête de la cour constitutionnel, de la cour des comptes de la cour d’état, et de l’audiovisuel etc …
La France est malade !!
Mais quel foutoir !!! On dirait vraiment une meute de charognards ! Les seuls qui pourraient peut-être nous sortir de ce bourbier, ce sont le RN, Ciotti et Reconquête, encore faut-il qu’ils se mettent d’accord ! Il y a un sacré ménage à faire dans ce jeu de mikado ! Je plains sincèrement ceux qui voudront s’attaquer efficacement et consciencieusement à cette rude tâche, car ils ne manqueront pas de bâtons dans les roues … Il leur faudra une bonne dose d’abnégation, de dévouement et de courage ! Ce qu’il faut au pays, ce sont des gens capables, dévoués et surtout qui ne pensent pas à leurs propres intérêts avant ceux du pays. Et je ne vois personne de ce genre dans les gens de gauche que nous avons testés et re-testés, ni dans ceux du « centre » qui sont trop mous et penchent un peu trop vers le bas de gauche. Il ne reste plus qu’à miser sur la partie dite de droite.
Les charognards se disputent le peu de viande avariée qu’il reste de cette pauvre France !!! Il est loin le temps où les politiques pensaient à servir plutôt que de se servir !!!
Mélanchon et sa bande d’assoiffés du pouvoir !!! Il suffit de regarder l’autre abruti de Bompard avec son air sarcastique !!!
Les Cocos et Socialos et les verts(CryptoSocialistes) qui voudraient bien goûter aux 10.000 euros par mois !!!
La Droite (LR, la bande de Gérard Philippe et le nain de Ciotti), qui donne une mauvaise image de la vie politique et je ne parle pas du RN qui surfe sur la vague du paternaliste et du populisme avec les dents qui rayent le parquet et commencent à attaquer les fondations!!!
Pauvre France !!!
Peut-être avez-vous raison, mais à votre avis qui voyez-vous pour servir a France.?
Vous avez en partie raison, sauf que le RN n’a jamais eu l’occasion de prouver ses compétences et que nous ne risquons pas le pire, avec lui ! Il ne peinera pas à faire mieux que tous ces incapables imbus d’eux-mêmes et trop occupés à vider les caisses pour leurs propres intérêts ! Avant de rejeter une nouvelle candidature, il faut mieux l’examiner et l’essayer !
Que réclament les partis ?
Évident… Ils voudraient revenir… (humour)
La gauche ,écolos LFI surtout pas de cohabitation avec ces là. Macron était dans le gouvernement de Hollande,on voit le résultat catastrophique, pas la peine d’en remettre une couche. Que ces personnes demeurent, dans les villes et les quartiers,pour le social, pour le bien de tous.Quant aux écolos (annexe de la France insoumise),je ne pense pas que beaucoup vont garder leur mandat de maire aux prochaines élections.