Échec personnel combiné à une volonté de contrôle absolu
Certes, il a atteint la barre des 22% aux présidentielle, le plaçant en troisième position derrière Marine Le Pen et il ne s’était pas donné la peine de se présenter aux législatives alors qu’il a œuvré pour la création de la Nupes avec le succès qu’on lui connaît. Jean Luc Mélenchon était persuadé d’être Premier ministre mais, là aussi, ses prévisions ont échoué. Mais pourquoi être candidat quand on est chef suprême de la gauche et qu’il dirige tout par téléphone ? Surtout, quand Coquerel est président de la Commission des Finances et que celui-ci obéit au doigt et à l’œil à son mentor.
Toutefois, celui qu’on ne verra que très rarement dans une matinale car pour lui, c’est trop tôt, se justifie autrement. En effet, il explique : « Je voudrais qu’on arrête de me bassiner avec ça. Je ne suis pas candidat à la candidature permanente. Je l’ai fait déjà trois fois, parce que la nécessité commandait ». Jean Luc Mélenchon a insisté sur le fait qu’il « n’aspire pas à renouveler sans cesse le même rôle ».
Un travail intellectuel tout en gardant la main sur ses partisans
S’il a précisé que «à l’avenir, j’ai une tâche : j’ai formulé pour la première fois une théorie d’ensemble qui nous permet la synthèse entre l’écologie politique, l’héritage du socialisme historique, le républicanisme, et ça s’appelle la théorie de l’ère du peuple et de la révolution citoyenne. Ma tâche est de terminer ce travail intellectuel». Jean Luc Mélenchon n’a pas dit non plus qu’il céderait sa place de président de LFI et, encore moins, qu’il prendrait sa retraite politique.
S’il évoque sa succession, c’est plus dans l’optique de trouver quelqu’un qui fera campagne à sa place, lui préférant les villas des dirigeants sud-américains aux meetings dans les régions françaises. Toujours avec l’humilité qui le caractérise, il prévient: «Le premier qui déclenche une guerre civile (au sein de la Nupes, NDLR), il aura affaire à moi». «Il y a toujours des bonnes raisons pour déclencher des guerres… Mais voilà ma consigne: faites-vous aimer. Celui ou celle qui sera le plus aimé du grand nombre, vous verrez que cela vous paraîtra naturel de dire allez, vas-y !».
En France trop de soit disants français et de fainéants vote plus contre quelqu’un que pour quelqu’un; trop de tout pour ma gueule. L’essentiel étant de percevoir toujours plus de subventions diverses , pour vivre sans travailler .
Mélenchon est vraiment Trotskyste : il a tout ce qu’il faut pour que ça marche mais il fait tout ce qu’il faut pour que ça ne marche pas …
Complètement
J’ai du mal à le croire, la place est trop bonne. Il s’est déjà bien goinfré de fric public, il ne va pas s’arreter de si tôt ce traître qui préfère les ratons aux Français!
Peut-être sent-il la contestation monter au sein de ses propres rangs!?
tant mieux ont en a marre de ce connard quon regarde sur internet son patrimoine et vous comprendrais