Gérald Darmanin devant les sénateurs ©Capture d'écran Public Sénat
Les lignes imposées par les LR difficiles à intégrer pour une majorité essentiellement issue du PS
La semaine dernière, Éric Ciotti, président des LR, Bruno Retailleau, chef de file du groupe au Sénat et Olivier Morleix, son homologue à l’Assemblée, avaient décidé d’avancer seuls sur ce texte, lassés des atermoiements de Gérald Darmanin. Le sujet est sensible mais crucial pour la droite. Ils avaient donc demandé, entre autres, la sortie de certains textes européens et internationaux et une révision constitutionnelle. Si Beauvau était restée bien silencieuse jusqu’à présent, ce n’était que pour réfléchir à la manière dont ils pourraient négocier. La première ligne rouge sera donc: pas de sortie des traités européens.
Le second gros problème pour Darmanin est le titre de séjour «métier en tension» auquel il tient particulièrement. Pour la droite, ce ne serait qu’un appel d’air à plus d’immigration. Toutefois, sur ce point, l’intérieur se montre plus malléable. Un conseiller du ministère dira d’ailleurs qu’«on est prêts au compromis acceptable». Si la mesure actuelle prévoit un titre de séjour pour ceux qui exercent un métier en tension à condition d’être sur le territoire depuis trois ans, Darmanin est prêt à négocier. «Si les LR veulent cinq ans, pourquoi pas? S’ils veulent un salaire minimum pour ces personnes? Pourquoi pas?», indique l’entourage du ministre.
De nouvelles tables rondes dès la mi-juin
La rédaction du texte a pris beaucoup de retard. L’exécutif ne veut pas laisser penser que c’est un sujet de second ordre surtout quand il voit les sondages sur la question. Le ministère de l’Intérieur se voit contraint de dire publiquement que des propositions LR sont très intéressantes comme la situation des mineurs non accompagnés, le conditionnement des visas voire même une réforme de l’aide médicale d’État. Éric Ciotti voudrait aller plus loin puisqu’il souhaite «que le débat soit tranché par le peuple». L’idée d’un référendum a été exclu par le gouvernement.
loi immigration, laissez moi rire, ,un manque de courage ,que du bla bla bla, bla bla bla, et quand vous voyez dans quelle condition ,ont les recoient, et bien quand ont n’a pas les moyens de les recevoir dignement, on freine l’immigration. sans rancune.
Cette (truffe) est à celui qui l’écris. Un ministre est dans son rôle quant il propose des textes et propositions d’améliorations de textes de lois.
Il faut en finir avec ces querelles partisanes.
Que tous ces extrémistes, de droite de gauche et certains écologistes puissent évoluer dans leur tête, ce sera bon pour la France.
Quant on s’affronte on est toujours perdant !
Quant on collabore on ne peut être que gagnants !
C’est aussi valable pour les associations et syndicats.
« Cette (truffe) est à celui qui l’écris » Commencez par écrire correctement en Français avant de vouloir donner des leçons. Le ministre en question n’est pas du tout dans son rôle quand il pose des conditions non négociables, la sortie du carcan européen, c’est de sa part de la dictature.
Quand cette truffe de Darmanin comprendra-t-il qu’il ne fait pas partie du pouvoir législatif mais de l’exécutif ? Ce n’est pas à lui d’édicter les lois, c’est au parlement et lui doit s’exécuter en faisant appliquer. Mais ça ne semble pas rentrer dans sa tête de cloche fêlée.