Droit dans ses bottes
Si le Centre national de Rugby, aussi appelé CNR donc, à l’habitude d’accueillir de grands champions, c’est une autre image que donne Macron entouré quasi uniquement de ses fidèles. Pourtant, cette nouvelle instance voulue par l’Élysée souhaitait répondre à la défiance démocratique. On pourrait penser qu’il est difficile de débattre quand on est seul avec soi-même mais ça ne semble pas être le cas. Ce n’est pas l’absence des oppositions de droite et de gauche, qui ont décidé de boycotter ce rendez-vous, tout comme la CGT et FO, qui va inciter le chef de l’État à renoncer à ce projet. Bien au contraire. Quand on l’interroge sur ce point avant l’ouverture des débats, il a été très clair: «Les absents ont toujours tort».
Des propos qui ne manqueront pas de faire réagir toute la classe politique et les syndicats. Dans un contexte que nous connaissons où, au-delà des questions internationales, économiques, sécuritaires, les débats sont plus que houleux sur les dossiers de l’assurance-chômage et la réforme des retraites. Cela n’a pas empêché le Président d’ajouter: «Les Françaises et les Français m’ont fait confiance pour la deuxième fois pour agir. Agir, ça suppose de s’armer de courage, de volonté, de bonne volonté. 52 personnes, représentant forces politiques, syndicales et élus, ont été invitées, 40 sont là. Les douze qui ne sont pas là ont tort. Quand on a un mandat, on a un mandat pour représenter, parler et même venir dire qu’on n’est pas d’accord. Quand on n’est pas là, il ne faut pas après expliquer qu’on n’a pas été consulté ou que c’est trop vertical.»
La voie ouverte aux référendums
Le chef de l’État n’exclut pas d’y avoir recours même si c’était une de ses grandes promesses de son précédent quinquennat et qu’il ne l’a jamais mis en œuvre. Il a déclaré souhaiter qu’il y ait «une part d’accouchement collectif» avec «du consensus et en même temps une part d’action». «Donc oui, ça peut déboucher aussi sur des référendums, a-t-il précisé. Je veux remettre nos compatriotes au cœur des grands choix de la nation. Il faut ensuite qu’on puisse décliner (les travaux du CNR, ndlr), qu’ils puissent s’exprimer sur ces grands choix, ces grandes transitions.»
Si, pour beaucoup, ce CNR n’accouchera que d’une souris et n’est qu’un outil de communication de plus pour Macron, ce dernier insiste et explique qu’il permettra de «lancer de l’action concrète dans les prochains mois», avec des «déclinaisons locales». Tant pis pour «celles et ceux qui ont décidé de ne pas être là». «C’est leur choix, je le respecte, la porte sera toujours ouverte», assure le Président. Avant d’ajouter que «toutes les associations d’élus sont présentes», ainsi qu’une «large part des organisations syndicales». Et de souligner: «Quand on a un mandat, on a un mandat pour représenter, parler, même venir dire qu’on n’est pas d’accord. Quand on n’est pas là, il ne faut pas après dire qu’on n’a pas été consultés, que c’est trop vertical, c’est trop ceci ou cela. Il y a une formule de bon sens qui dit que les absents ont toujours tort.»
La secte macroniste est toujours là…pour appauvrir la France, bravo !
Un White Elephant de plus …et pour rester dans le Wildlife je voudrais comparer dans la Savane Europeenne la France au Gnou ( Connochaete ) ruminant appartenant a la famille des bovidés et et a la sous famille des antilopes…qui avec sa tête longue et étroite est une proie très facile pour les prédateurs…. quand allons nous arrêter le règne des Merlins Enchanteurs et autres diseurs de mauvaises aventures
Les Français ont de bonnes raisons pour douter de cette énième consultation car à chaque fois que cela s’est produit Mr Macron n’a jamais tenu compte des diverses opinions et remarques des Français mais a décidé seul de ce qu’il voulait faire , seul et tout seul de ce qu’il avait prévu de faire avant même cette consultation. On comprend la réticence des non participants …………
Les commentaires sont toujours dans la critique, car les gens ne réfléchissent pas à la réalité de la situation. Ils sont gorgés par l’opposition de slogan destructeur.
Parler de la grandeur de la France, c’est parler de la France coloniale; à croire que les français sont nostalgiques des colonies et de l’esclavage.
-Voire l’influence du pays diminuer en Afrique, dans les anciennes colonies, encore de la nostalgie
-Voire le PIB se reduire en proportion des autres, c’est oublier la boulimie de consommation des français qui a entrainé l’externalisation des fabrications, du fait des coûts de main d’oeuvre en France.
-tout mettre sur le compte des gouvernements est plus facile que de se remettre en cause.
Drôle d’époque ou notre président ne se gène plus pour passer du en même temps au mensonges effrontés lors de ses prises de parole (épisode confondant contre le patron de EDF au sujet de la fermeture des centrales nucléaires). Tout lui est permis, tout lui est excusé, la presse lui est soumise, notre monarque à 5 ans pour achever son oeuvre de déclassement de notre pays au bénéfice de l’Allemagne et de l’UE.
Pour « citoyen ».
Retournez à l’école primaire apprendre l’orthographe, c’est urgent ou alors n’écrivez plus.
A. ROUX
Donnez un autre argument plus constructif. Vous oubliez : nous n’avons plus d’instits et profs valables pour apprendre aux enfants à lire et écrire correctement le Français et compter ayant tous des bacs à sable depuis longtemps. C’est voulu par le psychopathe Macron.
Pauvre débile !
Un énième bla bla présidentielle, qui n’intéresse finalement pas grand monde ! !
Super, depuis l’ère Giscard la France n’a cesser de partir à la dérive, avec Macron le bateaux va couler, il n’y plus de sauvetage possible, la France n’est plus un grand pays, mais un pays du moyen age.
Ceux qui croient encore que la France et un grand pays qu’une résurrection et encore possible, je lui dit réveillez vous est cacher vous dans un terrier de renard.
Vive les non vacciner qui sont traiter comme des complotistes survivalistes
Pour les moutons critiqueur d’orthographe ce n’est pas ça qui va sauver la France.