
Emmanuel Macron ©Capture d'écran WP24
Les récentes déclarations d’Emmanuel Macron à propos de l’Algérie, contraires à la position de Bruno Retailleau et François Bayrou, suscitent de vives réactions politiques, notamment au sein du Rassemblement national. Dans un entretien donnée au Figaro, alors que les relations entre la France et l’Algérie sont au plus bas, le président de la République a adopté une position plus que conciliante avec l’Algérie. Des propos à rebours de ceux tenus par le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, ainsi que par le Premier ministre, François Bayrou.
Défendre l’Algérie au lieu de la France
«Chacun est dans ses compétences. L’accord de 1968, c’est le président de la République. Et ce qu’on a acté avec le président Tebboune en 2022, c’est sa modernisation. Je suis totalement favorable, non pas à le dénoncer, mais à le renégocier», a développé le chef de l’État auprès du quotidien national. Macron a ainsi fermement écarté toute suppression dudit texte. Il expliquera qu’«il faut engager un dialogue exigeant et respectueux. C’est ensemble que l’on peut faire des choses intelligentes pour les deux côtés». Les propos du locataire de l’Élysée, en rupture avec la position du gouvernement Bayrou, n’ont pas manqué de faire réagir, notamment au sein de l’opposition.
«Le roi Macron a mis fin à la mascarade et au plan de communication du gouvernement», a ainsi cinglé le président du RN, Jordan Bardella, sur RTL lundi 3 mars. «Entendre Emmanuel Macron dire que non, il ne faut pas abroger les accords franco-algériens de 1968, c’est une honte, c’est un président qui a peur. Comment pouvons-nous être gouvernés par un président qui a peur ?», s’est, de son côté, demandé le député RN Sébastien Chenu sur Europe 1. «Emmanuel Macron se comporte comme l’avocat du gouvernement algérien», a abondé son collègue Laurent Jacobelli sur le plateau de LCI.
L’Algérie se réjouit de l’humiliation infligée par Macron à son gouvernement
En Algérie, les réactions sont diamétralement opposées à celles observées en France. Les médias, ainsi que le pouvoir algérien, se réjouissent du discours de Macron et critiquent le ministre de l’Intérieur, accusé d’appartenir à l’extrême droite. «Macron désavoue Retailleau et se démarque de l’extrême droite», titre par exemple le quotidien francophone El Watan.
Selon plusieurs sources gouvernementales interrogées par Le Figaro, le chef de l’État craindrait en réalité la réaction de l’importante communauté algérienne qui vit sur le sol français. «La France doit tenir compte de la communauté algérienne qui vit très mal cette situation», a publiquement déclaré le ministre de l’Industrie, Marc Ferracci, dimanche dernier sur CNews. La stratégie de Bruno Retailleau de durcir le ton avec Alger ne serait pas du goût de Macron, qui souhaiterait adopter une approche plus «pragmatique» afin d’éviter un soulèvement, notamment des binationaux. «On craint surtout les réactions de la diaspora algérienne présente en France qui pourrait «casser la baraque» », a indiqué l’entourage du chef de l’État au Figaro.
Bonjour, pourquoi, s’ils sont recadrés par le roitelet de pacotille, ne démissionnent-ils pas ?
C’est peut-être le seul moyen de le virer ou le faire partir.
Il ne partira pas , trop fier ce Virus omacron.
La place serait-elle trop bonne ?
Aller, encore 2 ans de galère. J’espère seulement que ce ne sera pas de trop.
A plat ventre devant l’Algérie pour ne pas froisser la diaspora algérienne, à plat ventre devant les L’Islam pour ne pas froisser la communauté musulmane de France qui n’ont rien demandé. Notre majorette Elyséenne utilise à fond avec un cynisme incroyable l’aubaine du conflit Ukrainien pour redorer son image. C’est ce même président de pacotille dont le bilan catastrophique a ruiné le pays, démantelé notre souveraineté nucléaire, nous a fait viré d’Afrique, qui se pose maintenant en sauveur. Il ne reculera devant aucune bassesse et utilise à nouveau de la peur de la guerre totale pour remonter dans les sondages.
renforcer la puissance de la France oui, mais pas avec ce clown !
Eh bien s’il faut entrer en guerre avec ce chef de pacotille, on est mal barré, il va baisser son froc à la première occasion… mais bon vous l’avez voulu et bien vous l’avez dans toute sa splendeur…
Faut-il le traduire en justice pour trahison ?
Le Président de la République française outrepasse ses fonctions. En nommant un premier ministre, ce n’est plus à lui à régler ce type de problèmes. Monsieur a un avis sur tout, sur l’Ukraine, sur l’armement nucléaire qu’il veut partager avec l’Europe, il nomme un garde des sceaux qui règle ses comptes personnels avec certains juges qui l’avaient mis sur écoute pour la sûreté de l’État. Un Président qui s’occupe de pouvoirs que la Ve République attribue à d’autres instances s’appelle un dictateur.
Avec nos chers politiques et les hauts fonctionnaires seules les grosses enveloppes comptent…
Avec les politiques et les hauts fonctionnaires seules les grosses enveloppes comptent…
Quel incompétent notoire ce micron, le mozart de la finance, de la décadence plutôt !
C’est presque de la complaisance envers une dictature voire de la trahison ! 🙁
Avec ce président peureux , tiède surtout préoccupé a défendre les autres plutôt que son pays , la France ne s’en sortira pas et surtout elle va de plus en plus mal . Tout mon soutien à ces ministres qui essaient de changer les choses !
C’est surtout un homme peureux, on le sait depuis longtemps, cf face aux gilets jaunes.
Fort avec les faibles, faible avec les forts est sa devise.
Notre président est au service de l’islam, donc il ne peut que soutenir ceux à qui il a prêté allégeance ! C’est de plus en plus clair.