Défilé de l'Action Française, place de l'Opéra, le 14 mai 2023 ©Capture d'écran Youtube
Dans le cas des défilés prévus le week-end dernier, il semblerait bien que rien ne permettait de les interdire. De plus, face à une interdiction prononcée par le préfet de Paris, c’est bien le juge administratif qui a suspendu cette décision et a permis la manifestation.
Un nouvel échec pour Darmanin
C’est un coup d’éclat manqué, un énième coup d’épée dans l’eau. Il ne fallait pas être un grand juriste pour comprendre immédiatement que le ministre de l’Intérieur allait directement dans un mur avec ce discours contre l’extrême-droite à l’Assemblée. Par conséquent, non seulement les manifestations ont eu lieu mais, comme nous l’évoquions ici le 10 mai, il y avait de grandes chances que les principaux concernés soient plus agressifs qu’à l’accoutumée. Ainsi, nous avons pu observer quelques débordements le week-end dernier.
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Le mouvement nationaliste Action française a pu organiser sa manifestation dimanche après que le tribunal administratif ait suspendu l’interdiction prononcée par la préfecture de Paris. Il a motivé son arrêt en disant que la manifestation «ne constitue pas une incitation à provoquer des troubles à l’ordre public, même en tenant compte du contexte de tensions sociales actuelles» et, qu’en plus, elle est «organisée depuis plusieurs décennies». Si le défilé du groupe «Les nationalistes» a été, quant à lui, interdit, les magistrats ont autorisé l’organisation d’un colloque dans le XIIème arrondissement de Paris.
Des petits mouvements de tensions
Ceux-ci ont eu lieu entre les manifestants et les forces de l’ordre mais il n’y a eu aucune attaque sauvage contre les policiers ni aucune destruction du mobilier urbain lors des défilés. Le cortège de l’Action française est parti de la Place de l’Opéra et comptait environ 600 personnes. L’encadrement de la police extrêmement présent tout comme celui des journalistes a amené quelques agacements du côté des manifestants.
Darmanin est une buse, il ne connaît pas lois mais donne des ordres aux préfets qui sont en total désaccord avec ces lois !!! On a tous compris qu’il essaye d’exister pour ne pas qu’on l’oubli en 2027 mais c’est peine perdu !!!
Manifester est un droit fondamental de notre démocratie à condition que son déroulement soit pacifique et ne menace pas l’ordre public. Un bon service d’ordre propre à l’organisateur, pas d’affrontements avec la police, pas d’infiltration par des groupuscules cagoulés, pas de détériorations de bâtiments et de services publics ou privés.
Par ailleurs, pourquoi qualifier l’Action française de parti d’extrême droite comme le fait allégrement et abusivement la Presse ? Tout au plus, c’est un mouvement de la valeureuse droite nationaliste française, autonomiste, qui défend le principe de la restauration d’une royauté constitutionnelle en France. Car, les courants antisémitiques et autoritaires du début du mouvement en 1903, ont bel et bien disparu.
Il est dur d’empêcher les « infiltration par des groupuscules cagoulés » car ces « groupuscules » sont des émanations souvent « gouvernemantales » ou « policiaires », je pense même à la « CIA » comme en 1968 mais bon, c’est vrai que je suis « complotiste ».
Comme quoi, il est préférable de se taire plutôt que dire n’importe quoi!! Mr Darmanin.
Ce type est bien au même niveau que les clampins du gouvernement et de son patron