De plus, les insultes «anti-Blancs», confirmées par les enregistrements des portables des témoins, ont fait basculer le pays dans un climat de guerre civile. Gérard Collomb, disparu samedi 25 novembre, disait en 2018, parlant des «quartiers sensibles», «nous vivons aujourd’hui côte à côte, attention à ne pas vivre face à face». Conscient de ce risque, Olivier Véran préviendra d’un «risque de basculement de notre société» avant d’évoquer «des personnes qui ont tué gratuitement».
Être à la hauteur face à ces événements
Le porte-parole du gouvernement, à qui il a été reproché de venir 9 jours après les faits, a voulu précisé sa pensée. Le meurtre de Thomas n’est pas le résultat d’une «une bagarre qui a mal tourné». Il dira: «Ce qui a coûté la vie à Thomas ce n’est ni un fait divers, ni une rixe», et de prévenir qu’«il y a un risque de basculement de notre société si nous ne sommes pas à la hauteur». L’ancien ministre de la Santé a rappelé aussi que l’unique réponse à cette attaque était la «justice». Il fait écho ici aux jeunes gens, qualifiés de membres de l’ultra-droite, qui ont défilé dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère d’où sont issus les membres de la bande qui a porté l’assaut contre le bal de Crépol. En effet, si 20 membres de ce groupe ont été arrêtés par la police, il n’y aura eu aucune interpellation parmi les proches des neufs agresseurs identifiés.
Le gouvernement veut des sanctions très lourdes à l’encontre des agresseurs
Les neufs agresseurs ont été mis en examen pour «meurtre en bande organisée», «tentatives de meurtre» ou encore «violences volontaires commises en réunion». Toutefois, en ne retenant pas le caractère raciste de l’expédition, de fait, le gouvernement considère qu’il s’agit d’un fait divers comme un autre. En effet, les bals de village sont régulièrement pris pour cible. Des faits similaires dans un autre village s’étaient produits le 30 septembre, faits évoqués sur CNews par une auditrice de l’émission de Pascal Praud. Aucun média n’en avait été informé jusque là.
« L’extrême violence des agresseurs, la méthode pour attaquer les jeunes gens présents à cette soirée, la mort d’un adolescent de 16 ans et les 17 blessés, ne peuvent pas être traités comme un simple crime ». Votre bla-bla-bla, c’est aux Juges qu’il faut le faire.
« Le gouvernement veut des sanctions très lourdes à l’encontre des agresseurs ». Les sanctions seront décidées par les Juges, qui se moquent de vos conseils, et SANS L’ACCORD du gouvernement. Ce nouveau bla-bla-bla, du gouvernement que vous êtes c’est enfumer la population. Vos mensonges et ceux de votre petit copain Atal, ne passent plus.