
Sébastien Lecornu, ©Wikimedia
Après seulement 14 heures à la tête du gouvernement, un record de brièveté dans l’histoire politique française, Sébastien Lecornu a présenté sa démission au président de la République. Face à un blocage politique qu’il juge insurmontable, l’ancien ministre des Armées a détaillé les raisons qui l’ont poussé à ce choix radical, pointant du doigt l’absence de volonté de compromis des différentes forces politiques.
Une démission éclair après des discussions « encourageantes »
Le lundi 6 octobre, Sébastien Lecornu a officiellement remis sa démission à Emmanuel Macron. Lors d’une allocution à Matignon, il a tenu à expliquer les motifs de cette décision intervenue avant même l’installation effective de son gouvernement.
Pourtant, selon ses propos, les échanges avec les différents acteurs politiques et sociaux semblaient aller dans la bonne direction. « Nous étions en train d’avancer sur des solutions concrètes », a-t-il affirmé, évoquant les discussions menées avec les partenaires sociaux et les responsables politiques.
Ces discussions portaient sur des sujets prioritaires que Lecornu considérait comme les missions essentielles d’un Premier ministre : répondre aux urgences budgétaires, notamment concernant la Sécurité Sociale, mais aussi traiter les questions de sécurité quotidienne, de pouvoir d’achat, d’emploi, et la situation en Nouvelle-Calédonie.
Trois raisons majeures pour un départ précipité
Un refus de reconnaître la nouvelle donne parlementaire
Selon l’ancien Premier ministre, les formations politiques n’ont pas pris la mesure de l’évolution proposée dans la méthode de gouvernance. « Les formations politiques ont fait mine de ne pas voir la rupture profonde que constituait le fait de ne plus se servir de l’article 49.3 », a-t-il expliqué.
L’absence de culture du compromis
Lecornu a pointé l’attitude des différents partis qui, selon lui, se comportent comme s’ils disposaient chacun d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale, rendant impossible toute recherche de consensus.
Ce comportement a conduit à une impasse politique où chaque formation campe sur ses positions sans volonté de compromis, incompatible avec la réalité d’une assemblée fragmentée.
La présidentielle 2027 déjà en ligne de mire
Le troisième facteur identifié par Sébastien Lecornu concerne les ambitions présidentielles qui se profilent déjà. La composition de son gouvernement aurait réveillé « des intérêts partisans » en lien direct avec l’élection présidentielle de 2027.
Un appel à la responsabilité politique
Face à cette situation, l’éphémère Premier ministre n’a pas mâché ses mots envers ceux qu’il considère comme responsables de cet échec. Il a rappelé aux élus leur devoir fondamental de « ne pas oublier l’intérêt général ».
« On ne peut pas être Premier ministre quand les conditions ne sont pas réunies », a-t-il conclu, justifiant ainsi sa décision de jeter l’éponge après un mandat historiquement court de 14 heures seulement.
Cette démission éclair souligne la profondeur de la crise politique française et pose la question de la gouvernabilité du pays dans un contexte de forte fragmentation parlementaire.

Je dis Amen. Tout ce cirque doit tomber. Les choses anciennes sont passées sans apporter aucun. Un arbre fruitier qui d’après sa saison ne porte pas de fruit ? Rien de bon ne sortira de lui. Nous avons besoin d’arbres qui produisent et nourrissent le peuple qui sera lui aussi motiver aussi produire davantage. Macron sort du chemin. Laisse faire les grands.
Tu parles! On prend les mêmes ânes et on recommence! Pour une fois je suis d’accord avec Retailleau! Il faut que ça change et que le triste sire qui est à la tête du pays comprenne qu’il est vraiment de trop et qu’il doit partir même si son égo démesuré en prend un coup!.
non mais il s’ attendais a quoi a mettant Lemaire ministre des armés , l’homme(avec Macron) au 1000 milliards de dette !! et discuté avec les partenaires sociaux ses meme partenaires sociaux qui encourage la fainéantise / l’assistinat / migration , en France , pouaaa un bon coup pied dans cette fourmilière de ministres actuel et macron , et les prochains qui serons en place j’espère qu’ils feront sauté tous les avantages financier que les precedent ont eu !
J’ai un triste pressentiment pour l’avenir.
Un système étatique qui est capable de condamner un ancien président sans preuve, et tout à fait capable de magouiller les prochaines élections, afin d’exclure du pouvoir le premier parti de France.
Ils sont capables de tout avec la complicité de 90 % des médias.
Triste France, honnête comme dirait le milicien antidémocratique !!
Je suis de votre avis. Ils sont prêts à tout pour diriger et permettre à leurs amis islamistes de prendre le pouvoir. Seulement, quand ils y seront parvenus, ils ne savent pas qu’ils ne pourront plus l’ouvrir comme ils le font, surtout les Panot, Hassam, Tondelier, etc …. Elles verront, ces harpies, si elles pourront la ramener, leur grande g.
Ce sera bien fait pour eux, mais le problème, c’est qu’ils nous entraîneront dans cette galère infernale ….
Sarko est multi récidiviste !!!!!! Chi toyen est un négationniste !!!!!!!! A t il encore sa raison?????la question se pose !!!!!! Ou serait il juste un gros blaireau de service à la tête de milice d extrême copain avec Musk et ses saluts nazi!!!!!!!!!!!!!et bien avec ça on est mal barré !!!!!!!!!! Triste France 🇫🇷 honnête
Le Cirque Pinder… La France est la risée du monde, une honte absolue !
Il faut tout dissoudre , Assemblée Nationale et Macron.
AFUERA !!!
Complètement de votre avis, le Macronard choisit tjrs des toutous, il faut l’éjecter il ne sert à rien à part foutre la merde et il ferait mieux de faire du théatre cela lui réussirait bcp mieux et il ne s’aperçoit même pas qu’il est la risée du monde, il n’a aucune crédibilité mais il persiste c’est cela les arrogants et méprisants et qui passe en final pour un couillon….