
François Bayrou ©Capture d'écran France Inter
Le Premier ministre François Bayrou a récemment affirmé qu’il n’était pas envisageable de revenir à l’âge légal de départ à la retraite de 62 ans, actuellement fixé à 64 ans selon la législation en vigueur. Lors de son intervention dans l’émission «Questions politiques» diffusée sur France Inter le 16 mars 2025, François Bayrou a déclaré: «Je ne crois pas que la question paramétrique, c’est-à-dire la question de dire ‘Voilà l’âge pour tout le monde’, soit la seule piste». Cette déclaration a déclenché l’ire des syndicats qui ont réagi immédiatement se disant «trahis» par le Premier ministre.
Distinguer les retraites du secteur privé et celles du secteur public
Le chef du gouvernement a souligné l’importance de mener deux discussions distinctes. La première concerne le secteur privé, avec pour objectif de revenir à l’équilibre financier d’ici 2030, conformément aux engagements pris avec les organisations professionnelles et syndicales. La seconde porte ainsi sur les retraites du secteur public, afin de trouver des solutions pour améliorer l’équilibre des finances publiques. Néanmoins, cette position a suscité des réactions contrastées. La CGT a qualifié ce refus de «scandaleux», tandis que Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, a exprimé son mécontentement en évoquant un «foutage de gueule», sur France 3 dimanche dernier. De plus, François Bayrou a exprimé son désaccord avec son prédécesseur, Édouard Philippe, qui estime que les discussions actuelles sur les retraites sont dépassées compte tenu du contexte international. Le locataire de Matignon a critiqué cette approche, affirmant que le maire du Havre considère la démocratie sociale et les partenaires sociaux comme négligeables, préférant des décisions imposées d’en haut.
Pour Édouard Philippe, une autre méthode doit être mise en œuvre
Répondant par médias interposés à Bayrou, Édouard Philippe a maintenu sa position, jugeant que le débat actuel, surnommé «conclave», est dépassé. Il a déclaré que les syndicats sont invités à discuter d’une loi déjà votée, avec des marges de manœuvre très limitées, et a suggéré que les organisations syndicales se concentrent sur l’organisation du système productif et social face aux nouvelles priorités, notamment la menace russe. Malgré le contexte international et la situation chaotique des finances publiques, une partie de la classe politique persiste à vouloir revenir sur de la réforme des retraites. Le sujet est encore relevé par les syndicats alors que même la gauche semble avoir accepté de passer à autre chose.
Zétar D a allé à l École à repris les mêmes paroles que Martinez ancien dirigeant de la CGT. étrange pour un antisemite machiste raciste antitrisomique et grossophobe !!!! C’est bien ce que je disais, l’extrême droite a le même discours que la gauche m’ait fait le contraire de ce qu’elle dit. Pour preuve, il y a juste à regarder ses votes à l’assemblée européenne et au parlement français, ils sont plus proches du Medef, que du Petit.!!!!!! et les seuls qui défendent les pauvres, ils sont à gauche, ne vous en déplaise!!!!!! Au fait que penses-tu du SMIC à 1700 €. J’attends toujours, je n’ai jamais de réponse.!!!!!! triste France 🇫🇷
il faut bien tuer les travailleurs avant de prendre la retraite cela fera moins de pension a payer
quel cynisme de nos politiciens Si on leur appliquait la mème chose retraite à 62 ans il n’y aurait de députes de ministres de parlementaire de sénateurs séniles qui ne pensent qu’à garder leurs sièges et leur retraites dorées . il faudrait supprimer ces avantages dont ces gens disposent loyer voiture vacances au frais du citoyens
les coupables c’est nous qui croyons aux promesses des politiciens ……
Tous ces politicars stériles et séniles, faudrait les mettre en usine 6 mois et au smic !
test doublon !
Tous ces politicars stériles et séniles, faudrait les mettre en usine 6 mois et au smic !