Annoncée dans la presse à l’été 2024, Élisabeth Borne, ancienne Première ministre, envisageait de briguer la direction du parti Renaissance lors de son congrès prévu à partir du 23 novembre. Elle vient de se retirer de la course.
Enjeux et contexte
Gabriel Attal, bien que favori, souhaitait éviter toute fracture au sein du parti. Déjà confronté au départ de plusieurs députés depuis le début de la législature, il est désireux de maintenir l’unité du parti. La succession de Stéphane Séjourné, actuel secrétaire général de Renaissance, s’inscrit également dans ce contexte, Séjourné quittant ses fonctions pour un poste de commissaire européen à Bruxelles.
Retrait de la candidature de Borne
Mardi 29 octobre 2024, Élisabeth Borne annonce finalement qu’elle ne présentera pas de liste pour le congrès. Face au manque de soutien pour sa candidature et à la difficulté de rallier des appuis, elle décide de se retirer et de soutenir Gabriel Attal, son successeur à Matignon.
Accord et concessions
Lors de discussions tenues le 28 octobre 2024 dans le bureau de Gabriel Attal à l’Assemblée nationale, Borne négocie certaines garanties. En échange de son retrait, elle obtient la présidence du conseil national de Renaissance (le parlement du parti) ainsi que 25 % des sièges au sein du bureau exécutif. Bien qu’elle ait espéré forcer Attal à renoncer à la présidence du groupe de députés Renaissance, elle ne parvient pas à ce résultat.
Annonce de Gabriel Attal
Dans la soirée du 29 octobre 2024, Gabriel Attal officialise sa candidature au poste de secrétaire général de Renaissance par une lettre aux adhérents. Il bénéficie désormais d’une voie libre pour gagner le vote qui se tiendra le 7 décembre 2024, puisqu’il sera le seul candidat en lice. Ainsi, cette série d’événements s’achève par une liste unique pour le scrutin de Renaissance et l’entrée de Gabriel Attal dans la course avec le soutien d’Élisabeth Borne, garantissant une candidature d’union pour préserver la cohésion du parti.
Réaction de l’Élysée et rôle des médiateurs
L’Élysée, soucieuse de l’unité du parti en période de fragilité politique, a encouragé un rassemblement entre Borne et Attal. Le député Guillaume Gouffier Valente et l’ancien ministre Franck Riester jouent alors les rôles de médiateurs pour parvenir à un accord entre les deux figures politiques.
Tous ces gens, tous nos hommes politiques, sont des gens hors-sol, hors réalité. La France est le sujet d’un jeu de société dont ils doivent s’emparer pour y faire ce qu’ils veulent au détriment du peuple français. Ils ont perdu ? Peu importe, on recommence la partie, à savoir chercher à berner le peuple et à s’emparer du pouvoir une nouvelle fois. Sauf que dans la réalité, l’état du pays, lui, ne repart pas à zéro.
Attal à les dents qui raille le parquet, il ne pense qu’à sa carrière, la France et les français ne l’intéresse pas, il me fait penser à la chanson de Jacques Dutronc : L’opportuniste !!!
Bof ce sont des salades entre noblesse auto proclamée. Qu’est ce que le couillon, qui n’est là que pour payer peut en penser ? c’est le club LGBT qui est en place ne les dérangeons pas !