Rachida DATI / © Wiktor Dabkowski/ZUMA Press)
Rachida Dati en première ligne
La maire du VIIe arrondissement et première opposante à Anne Hidalgo, n’a pas manqué sa cible préférée. Elle dira à Hidalgo, lors du Conseil de Paris, mardi 15 novembre: « Vous avez décidé de manière un peu honteuse, de manière un peu cachée, par un tweet, une augmentation de 52 % de la taxe foncière. Mais quel mépris, mais quel irrespect». «Vous avez bien chanté, vous avez bien menti et maintenant les Parisiens vont payer. Nous, nous ne serons pas complices ni de ce braquage ni de cette trahison», a lancé Dati avant de quitter, avec les autres élus LR, la salle du Conseil de Paris. Agnès Evren, conseillère de Paris, députée européenne LR, ajoutera dans un tweet: «Face à une mascarade de débat budgétaire, nous avons quitté l’hémicycle avec Rachidat Dati et le groupe Changer Paris. Plus de sérieux, moins de taxes, Mme Hidalgo».
Une candidature officialisée
Mardi matin, Rachida Dati déclarait dans une interview au Parisien que «la gestion de la ville est défaillante. Nous avions réclamé la tutelle de l’État pour assainir les finances. Aujourd’hui, la situation nous donne raison». Ce que Bruno le Maire avait confirmé quelques jours auparavant au micro des 4V sur France 2. Rachida Dati ajoutera: «Aujourd’hui, la ville est contrainte de faire exploser la pression fiscale, la faute à une gestion calamiteuse et au refus idéologique de la remettre en cause». Qu’aurait-elle fait si elle avait été maire de Paris? La réponse est simple: «Maire de Paris, je ferai immédiatement un audit indépendant sur la gestion de la Ville et l’ensemble de ses politiques publiques».
C’est donc face à des bancs LR vides que la maire de Paris a défendu son choix, alors que sa ville est endettée à plus de 8 milliards d’euros , qui aurait «la chance d’avoir une situation financière saine». Elle a admis toutefois: «Je ne pourrais pas tenir cet engagement», en référence à sa promesse de campagne. L’augmentation de la taxe foncière est un «outil de solidarité entre les Parisiens». Et d’assurer que ce choix est fait pour faire face au risque climatique et à cause du gouvernement: «Nous ne pourrons pas vivre dans une ville où les températures envisagées atteindront 50 degrés». Pas sûr que cet argument tienne la route même devant les 7000 parisiens qui ont voté pour elle aux dernières présidentielles (sur 1,318 million d’électeurs).
N’importe qui à la mairie de Paris ! Saut l’actuelle maire ecolo-délirante, qui rend la vie infernale aux Parisiens et nous coute les yeux de la tête…
Madame Dati est issue d’une famille modeste, père Marocain et mère Algérienne, elle est née en France et c’est toujours réclamé Française de cœur. Je ne vais pas vous faire le coup du copié-collé de Wikipédia, mais elle à été garde des sceaux du gouvernement Sarko et, à ce titre, je pense qu’elle serait tout à fait à mème de diriger Paris. En tout cas surement mieux que la dingue actuelle. Il est vrai que sa vie privé semble, pour le moins, tumultueuse mais elle a l’air sincère dans ses aspirations. Si j’étais Parisien je voterez sans hésiter pour elle, en plus elle est plutôt jolie et serait une belle figure pour incarner la ville lumière et lui redonner de son lustre.
» a peut-être sous-estimer « ?? Andouille de journaleux, même si peu de français remarquent ça!
La DATI ne voit pas qu’elle est une arabe et qu’elle ne sera jamais élue maire de Paris, on est pas au MAROC, on est en FRANCE et aussi à Paris, donc aucun élu étranger dans cette ville, à moins que cette ville change de population et devienne arabe elle aussi et elle sera alors élue maire de Paris.
Bien sûr qu’elle peut tout à fait être élue!!! Elle ne sera pas une étrangère à Paris, ce sont les français de souche qui seront des étrangers, au rythme où ceux-ci envahissent la capitale se reproduisent
Madame Dati, ne vous en déplaise, est tout aussi Française que vous, ce qui m’oblige de vous dire que quand les cons volerons vous serez chef d’escadrile!
Le Maire de paris, en bon Français, me répugne, à la voir je la soupçonne de ne pas être soignée sur sa personne, beurk!.
Alain ROUX