L'OMS maintient son niveau d'alerte le plus élevé ©Pexels
Toutefois, toutes les statistiques vont de le sens contraire de cet avis. Les scientifiques comprennent mieux le virus et les populations savent très bien l’appréhender.
La crainte de nouveaux variants
Craignant une multiplication des variants, de nombreux pays européens ont décidé depuis décembre de réagi. C’est le cas par exemple de l’Italie, qui a annoncé rendre obligatoire le dépistage du Covid pour les visiteurs venant de Chine. La Première ministre italienne Giorgia Meloni avait alors déclaré qu’aucun nouveau variant du Covid n’a été détecté à ce stade chez les voyageurs arrivant en Italie en provenance de Chine.
De plus, les voyageurs testés positifs à ce stade sont porteurs de «variants Omicron déjà présents en Italie», avait-t-elle précisé dans son discours de fin d’année. Giorgia Meloni qui a cependant déclaré que ces mesures «risquaient de ne pas être totalement efficaces si elles n’étaient pas prises au niveau européen», et a par conséquent demandé à son ministre de la Santé Orazio Schillaci «d’écrire en ce sens au commissaire européen compétent pour que l’UE prenne une décision en ce sens».
Une vague d’infections en Chine qui inquiète l’OMS
Les vaccins et les traitements ont permis d’améliorer considérablement la situation depuis 2020. Pourtant, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, conserve un discours alarmiste et a déclaré qu’il espérait voir la fin de l’urgence cette année. Il a ainsi expliqué lors d’une réunion de l’agence lundi que «nous gardons l’espoir qu’au cours de l’année à venir, le monde passera à une nouvelle phase dans laquelle les hospitalisations et les décès liés au COVID-19 seront réduits à leur niveau le plus bas possible».
En décembre, les conseillers du comité d’experts de l’OMS sur l’état de la pandémie ont déclaré à Reuters que ce n’était probablement pas le moment de mettre fin à l’urgence compte tenu de l’incertitude concernant la vague d’infections en Chine après l’abandon soudain par Pékin de sa politique «zéro COVID» début décembre.
Parce qu’elle s’appelle l’OM Gates » comme Billy le Kid qui doit pouvoir continuer de piller notre argent dans les banques et ailleurs
il serais bien de comprendre les conflits d’intérêt de son directeur
si il réfléchissait un minimum, en regardant les chiffres, le nombre de victimes est ridicule depuis le début
il faut le relativisé au nombre de victimes « normale » dans le même temps avec la relativité du baby boom d’apres guerre
en réalité, il n’y a aucune augmentation relative du nombre de morts dans le monde
seule la cause déclarée à été modifiée