l’exécutif va rendre obligatoire la vente à l’unité de certains médicaments ©Pixabay
Si le gouvernement a demandé à des entreprises et aux pharmacies de procéder elles-mêmes, en France, au conditionnement de ceux-ci, ça ne palliera pas aux ruptures prévues pour cet hiver. Ainsi, selon une source relayée par Le Parisien, l’exécutif va rendre obligatoire la vente à l’unité de certains médicaments, surtout les antibiotiques.
Les produits délivrés sous ordonnance
Si certains pharmaciens pratiquent déjà cette méthode de leur propre fait, le gouvernement veut obliger l’ensemble de la profession à faire de même. Le but est que les boites de médicaments non utilisées ne restent plus dans les placards des Français. La même source a annoncé qu’«il n’y aura pas de rationnement. L’idée, c’est de rendre obligatoire la distribution de médicaments à l’unité quand il y a tension. Mais pas tous, uniquement certains antibiotiques». Cette personne ajoute qu’il «y a aussi un intérêt de lutter comme cela contre l’antibiorésistance».
Éviter les ruptures de stock
De nombreux professionnels passent déjà par des laboratoires spécialisés pour préparer les commandes à l’unité. Ainsi, un préparatrice en pharmacie a expliqué mercredi dernier qu’«on le fait de notre propre initiative pour pallier aux ruptures de stock. On passe commande dans un laboratoire de Marseille qui nous prépare des gélules qu’on distribue à l’unité, mais c’est beaucoup plus cher». Sont visés en priorité les anti-inflammatoires et les antibiotiques. Cependant, certains pharmaciens ont soulevé le problème de sécurité que cette méthode comporte. En effet, selon le président de l’union des syndicats de pharmaciens d’officine, «découper les blisters (coques d’emballage, NDLR), ce n’est pas la bonne réponse. En termes de traçabilité en numéro de lot, c’est une vraie galère».
Ceux pour qui l’abondance est finie et qui doivent se serrer la ceinture, à ce titre peuvent bénéficier du quart d’un comprimé pour permettre à l’exécutif de voyager à tous bras et faire bombance en toutes occasions. Fermez donc vos gueules, et engraissez vous comme des porcs à l’engrais que vous êtes.
Personnellement je trouve que les médicaments à l’unité c’est très bien. Ça se pratique dans beaucoup de pays sans problème. Franchement le nombre de médicaments qui finissent au fond d’un tiroir au risque qu’un enfant les mangent. Les autres sont incinéré.
Bref, le médecin fait l’ordonnance, le pharmacien donne un flacon avec le bon nombre de médicaments et le patient suis sérieusement le traitement.
Moins de gaspillage et moins de risques c’est très bien
Etre dirigé par des incapables, ça on le sait déjà et depuis longtemps malheureusement.
Ce qui m’interpelle dans cette affaire c’est la délivrance à l’unité près et pas en boîte. Que va t’il en être de la notice ? Nous aurons droit à un morceau, le paragraphe posologie ou une partie des effets indésirables (parce que là c’est plutôt long) ? Remarquez cela nous rapprochera de nos voisins … Tu as quoi toi ? Durée du traitement !
Ça rappelle l’adage : Dis moi ce dont tu à besoin et je t’expliquerai comment t-en passer. Ce gouvernement de cloches, incapable de prévoir, incapable d’une vision régalienne provoque les pénuries les plus diverses et variés sans jamais se remettre en question. Il n’en ont pas besoin, ils savent qu’ils ont l’épouvantail MLP pour assurer leur réélection.
Emmanuel Macron a le dos large. Maintenant c’est de sa faute s’il n’y a pas de gélule vide.
Certains pharmaciens en fond venir d’Espagne et les remplissent.
De toute façon Macron est un incapable plus ça va et plus c’est pire en France, les violences, les dettes public qui se multiplient; on aide des migrants et on appauvrit les petits et moyens français, etc….parce que pour donner plein d’aides aux autres il faut que certains paient la facture et ce n’est pas les riches qui font le plus d’effort….! C’est certain qu’il a le dos large car il est très loin d’être à la hauteur, c’est jusqu’à présent avec Hollande le plus pire des pires, une nullité pour son peuple, il n’y a que les célébrités et pété plus haut que son cul sur l’argent public qui l’intéresse.