Pourquoi parler de cette petite commune de 14000 habitants? Car c’est bien le reflet de la société française sur la difficile question de l’accueil des demandeurs d’asile. Une France qui est coupée en deux. Dans le cas présent, l’installation d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (ci-après «Cada») à proximité de l’école de la Pierre-Attelée, petit quartier très tranquille de l’Ermitage à Saint-Brevin les Pins, suscite la colère d’un collectif de parents d’élèves et de riverains.
La crainte pour la sécurité des enfants
L’actualité n’est pas en faveur de ceux qui sont en faveur du Cada. Une mère de famille, membre du collectif «Pour la préservation de l’école de la Pierre-Attelée» ne mâche pas ses mots dans les colonnes de Ouest France. Pour elle, le choix de cet emplacement demeure «incompréhensible». Elle ajoutera que «les chambres auront un vis-à-vis direct sur la cour de récréation de nos enfants. Imaginez un instant que 110 jeunes gens, en perdition, avec des profils psychiatriques instables, seront à portée de nos enfants. C’est de la non-assistance à enfants en danger». Cette maman a défilé dimanche dernier pour protester contre ce projet.
Le collectif est apolitique mais, il fallait s’y attendre, des élus ont voulu manifester avec les parents inquiets pour la sécurité de leurs enfants. Ainsi, Gauthier Bouchet, délégué départemental du Rassemblement national explique sa présence pour prôner «une opposition de principe à l’implantation d’immigrés non désirés, à Saint-Brevin comme partout ailleurs en France ». Le conseiller régional du RN indique ses motifs d’opposition: «la menace sur le cadre de vie, l’insécurité quotidienne, la dégradation de l’attractivité de la commune, etc.». Un discours bien rôdé.
Aux craintes légitimes s’ajoute un manque d’informations de la mairie
En effet, les administrés dans leur ensemble mais, surtout, les parents d’élèves, n’ont pas été consultés sur ce projet ni sur l’attribution du permis de construire. De plus, il faut souligner le budget que cela représente pour une petite commune, budget qui a été voté en conseil municipal: 3,7 millions d’euros. Yannick Morez, opposante divers droite, assène qu’il s’agit d’«un pied-de-nez pour les Brévinois qui s’endettent sur trente ans pour vivre dans un cadre paisible». Elle réclame ainsi auprès du maire l’arrêt des travaux et un référendum local. Pour rappel, le maire a ignoré «les sollicitations des anti-Cada à 17 reprises, et aurait organisé, au lieu de réunions publiques, des rencontres entre l’association Aurore et les parents d’élèves, en novembre 2021 et février 2022».
Où est la France Catholique ? Sinon dans ce département de Loire Atlantique mais qui semble avoir oublié ses valeurs d’antan . » Ce que vous ferez au plus petit d’entre les miens c’est à moi-même que vous le ferrez » oubliée cette parole évangélique, au profit d’un égoïsme nationaliste frileux et d’une peur irraisonnée.
Tout à fait d’accord avec vous
C’est une consultation « mélanchonienne » qui a eut lieu….sic
Et voila encore un maire qui préfère les migrants au FRANCAIS. Je suis persuadé que dès l’ouverture de ce centre il y aura des problèmes. Ils vivent comme chez eux, mais le pire est qu’ils imposent leurs lois. Ils vont être habillé, logé, nourrit, soigné, payé, encadré et cela sur le compte des FRANCAIS qui eux payent leurs taxes, leur nourriture, leur maison, leurs soins, leurs vêtement, en fait ils payent tout.
Méfiez vous car un jour peut être vous devrez vous mettre à quatres pattes et prier leur dieu.
les Français ne comptent plus pour les élus qui ne savent pas faire des économies mais que des dépenses. Vouloir sauver la culture Française et la démocratie c’est être ringards pour eux, ne pas vouloir être submergés par les migrants c’est être raciste. A croire qu’il préfère la charia à la constitution, la preuve certains veulent la changer peut être pour mettre la loi islamique en place ?