Il avait instauré un couvre-feu dans sa ville pour les mineurs de moins de 13 ans. Ménard estimait que ces très jeunes gens n’avaient rien à faire la nuit dans les rues de sa commune. Alors que le rôle des parents est remis en avant à droite comme à gauche, la Ligue des Droits de l’Homme (LDH) avait attaqué cette décision devant le tribunal administratif arguant «une privation de liberté».
Le tribunal administratif de Montpellier a rejeté la requête de la LDH
Le 22 avril, Robert Ménard avait pris un arrêté instaurant un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans. La LDH avait saisi le tribunal administratif en référé pour demander sa suspension immédiate. Cependant, les magistrats ont décidé de rejeter cette requête. L’avocate de la LDH, Sophie Mazas, dira être surprise par cette décision. Et d’expliquer que «le tribunal a pris en compte des données chiffrées sur la délinquance des mineurs. On revit 2014 où l’arrêté avait déjà été retoqué par le même tribunal et quatre ans plus tard annulé par le Conseil d’état. Je compte le saisir à nouveau». Elle justifiera son action en justice en indiquant que, selon la LDH, «le maire de Béziers a pris une mesure fondée sur aucun critères locaux pour aucun risque local pour les mineurs, c’est pour cela que l’on a introduit ce recours».
Une mesure justifiée par la mairie «pour la protection des mineurs»
L’arrêté concerne la circulation d’enfants de moins de 13 ans de 23h à 6h du matin. Alexandre Belloti, l’avocat de la ville de Béziers relèvera «des situations où il y a toujours un jeune qui se fait embarquer dans une bande. C’est pour lutter contre les risques des violences qu’ils peuvent subir, éviter une instrumentalisation par opportunisme pénal par des réseaux criminels, narcotrafiquants pour ce qui est des faits les plus graves». Néanmoins, la Ligue des Droits de l’Homme va marteler que cette mesure n’a que pour but réel que de favoriser le tourisme. Sophie Mazas persistera en disant: «Je ne pensais pas que cette vision politique de l’extrême droite serait développée d’un point de vue juridique. On théorise l’enfermement d’enfants au profit du développement d’une économie de loisirs».
Trop content pour Mr Ménard !! Pour une fois qu’en France on a une personne de censée et qui a des co–lles !! On veut l’empêcher de mettre en place un couvre feu qui est de grande nécessité !! Qu’elle aille se faire voir l’avocate Mazas de la LDH !!
Il semblerait que certains pouvoirs dans ce pays commencent enfin à ouvrir les yeux et à y voir clair. souhaitons que ça prenne de l’ampleur. Mais pour ça, il va falloir faire taire systématiquement la Gauche dès qu’elle expose ses idées farfelues.
Enfermement d’enfants ? Encore une folle furieuse… Est-ce que ses gosses à elle, si elle est arrivé à trouver un mec assez couillon, sortent jusqu’aux petites heures du matin ? Il y a des devoirs et des leçons à apprendre et il mal vu de dormir en classe. Il est de plus en plus évident qu’avec ce genre de bêtises les dealers préfèrent prendre des jeunes enfants pour leurs petits boulots, sachant que le tribunal les relâchera dans l’heure s’ils se font prendre. Les tueurs à gages ont maintenant quinze ans, ils ne risquent rien
La liberté de chacun s’arrête où commence celle des autres. La démocratie se fonde sur les droits et les devoirs de chacun. Le ultragauchistes tentent de nous forcer à oublier que des règles sont indispensables pour appliquer ces principes. Ils nient les devoirs, en ne faisant valoir que les droits des jeunes enfants et des parents qui ne se préoccupent aucunement de leur éducation. Ils ont une lourde responsabilité dans les blessures de notre société. L’argument qui consiste à ne voir dans la mesure prise à Béziers que « le développement d’une économie locale » et d’accuser le pouvoir judiciaire d’adopter une « vision politique d’extrême droite » témoigne de leur mauvaise foi.
Tout mon respect, Monsieur Ménard.