Bruno Retailleau / Capture d'écran RTL
Fondé en 2019, le collectif Némésis, qui se présente comme un groupe féministe, est présidé par Alice Cordier. Pour rappel, cette association a été cataloguée d’«extrême droite» quand elle a soulevé que des femmes n’auraient pas été violées si les OQTF avaient été exécutées. Ainsi, mardi dernier, lors d’une conférence sur la sécurité intérieure, en présence de Monsieur Retailleau, Alice Cordier a pris la parole pour demander la dissolution des groupes d’extrême gauche ultra violent comme cela avait été fait pour ceux d’extrême droite. Répondant à sa question, le ministre de l’Intérieur a commencé par féliciter Alice Cordier pour son «combat» dont il s’est dit «très proche». Les condamnations de La France insoumise ont éclaté à la suite de ces propos.
Une question sur la dissolution de La Jeune Garde antifasciste
C’est une reconnaissance longtemps attendue par Némésis, dont les membres, des jeunes femmes, sont régulièrement prises à partie quand elles ne sont pas menacées de mort. Alors que Gérald Darmanin, quand il était ministre de l’Intérieur, classait ce collectif à l’extrême droite, Bruno Retailleau tiendra un discours à l’opposé. Après avoir «félicité» Alice Cordier, il lui dira lors de cette conférence: «Bravo pour votre combat. Vous savez que j’en suis très proche». La jeune femme écrira sur X son «immense fierté» après les encouragements du locataire de Beauvau. Il n’en fallait pas plus pour déchaîner la fureur des députés insoumis.
Bruno Retailleau est ouvertement d’extrême droite selon les élus LFI
Clémence Guetté, vice-présidente insoumise de l’Assemblée nationale dira: «Voilà comment Retailleau, ministre de l’intérieur, s’adresse à un collectif d’extrême droite violent et raciste». Raphaël Arnault, qui a trois fiches S à son actif, député LFI et à la tête de la Jeune Garde, va déclarer: «Alors Bruno Retailleau assume ouvertement être d’extrême droite (si ce n’était déjà pas assez clair) et il faut le combattre comme tel». Place Beauvau, l’équipe du ministre répondra que M. Retailleau «répondait à une question sur la lutte contre l’ultra gauche et sur l’explosion de l’antisémitisme. Voilà ce qu’il a dit partager». La seule demande du collectif Némésis, son «combat», est d’obtenir l’expulsion des violeurs étrangers. Alice Cordier écrira sur X: «Après des années d’humiliations, de comptes bancaires qui sautent, de réseaux sociaux censurés, de violences par des militants d’extrême gauche, d’articles à charge… Après tout ça j’ai été félicitée par notre ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau».
Oui, quand supprimera-t-on ce parti LFI qui ne fait que nuire au pays et qui ne cesse d’insulter tous ceux qui ne pensent pas comme eux, d’appeler à la haine et à la violence, de créer en permanence le chaos ??? Ce sont un ramassis de racailles des bas-fonds, incultes pour la plupart, de grossiers et orduriers individus qui ne se plaisent que dans le mal. Une vraie cour des miracles des temps anciens, ils sont sales dans leur tête et donnent envie de vomir, tellement ils se montrent odieux en tout lieu et en toute circonstance.