En effet, selon ses propres termes, le locataire de Beauvau a souhaité prendre une décision «extrêmement forte, nette, radicale» pour les Mahorais. Les habitants de Mayotte avaient décidé de paralyser l’île pour protester contre l’immigration incontrôlée et l’explosion de la délinquance.
«Ne plus devenir français si on n’est pas soi-même enfant de parent français»
Dès sa descente de l’avion, dimanche 11 février, Darmanin a déclaré que «l’inscription de la fin du droit du sol à Mayotte», se fera à travers «une révision constitutionnelle que choisira le président de la République». Selon lui, il s’agit d’une mesure qui permettra de «couper littéralement l’attractivité» puisqu’«il ne sera plus possible de devenir français si on n’est pas soi-même enfant de parent français». Toutefois, si c’était bien l’annonce attendue par les Mahorais, le ministre de l’Intérieur s’est sans doute, comme à son habitude, précipité dans des déclarations hasardeuses. En effet, la convocation par Emmanuel Macron dès lundi matin de ses deux ministres à l’Élysée laisse penser que Darmanin a sous-estimé les risques politiques et la mise en place juridique d’une telle disposition.
La droite demande l’élargissement de cette mesure à tout le pays
Les partis de droite, LR, RN mais aussi Reconquête, ont immédiatement demandé que cette mesure soit élargie à l’ensemble de la France. À l’inverse, la gauche, dans son ensemble, souhaite que cette décision, qui n’est en fait qu’un vœu de Darmanin, dénué de tout appui de l’exécutif, soit tout simplement mise à l’écart. Sur France 3, Boris Vallaud, PS, a estimé que «l’archipel est déjà sous l’empire d’un régime juridique beaucoup plus sévère que tout le reste de la France (…) Il faut s’attaquer à la question de l’efficacité des services publics, de l’école, de la santé», faisant fi des problèmes de sécurité. La décision finale est désormais entre les mains du président de la République.
« à l’inverse, la gauche, dans son ensemble, souhaite que cette décision, qui n’est en fait qu’un vœu de Darmanin, ».
Si ce n’est qu’un vœu, les mahorais vont se faire un plaisir de se rappeler à lui, soit le macron modifie la constitution pour tout le territoire national, avec les partis de droite et du centre, soit on reste en l’état, alors il y aura de la casse.
Faudrait supprimer toute aide et subvention aux Comores pour qui reprenne ses sujets.
Mayotte annonce l’état de la France en 2050 si rien n’est fait contre cette invasion migratoires qui procède au grand remplacement de la population, quoi qu’on en dise, cela est factuel ils suffit de descendre dans les rues des grandes villes pour le voir.
Et la nouvelle loi immigration ne règle pratiquement rien !!!
Encore 3 longues années à tenir avant la prochaine élection J’espère que les électrice et électeurs voteront utile et pour leur conviction mais tous nos politiques actuels ont encore le temps de faire beaucoup de dégâts
Le plus inquiétant actuellement est leur nouvelle super loi d’arnaque. Suppression du droit du sol tu parles… face à Van der Leine et autres et surtout sera retoqué par le Conseil Constitutionnel donc de la pacotille (rien parce que c’est une proposition du RN) PAR CONTRE Fin des visas territorialisés à Mayotte : «Le risque d’une vague migratoire supplémentaire est réel» pour venir en métropole celui là va passer c’est à dire qu’une fois le pied posé à Mayotte chacun pourra circuler librement dans toute la France (ce qui est impossible actuellement) un vrai bonheur pour toutes ces vagues migratoires… Les détenteurs d’un titre de séjour dans l’archipel pourront désormais rejoindre le reste des territoires français, ce qui leur était interdit auparavant. Faut-il s’attendre à une vague migratoire vers la métropole ?
« Le risque d’une vague migratoire supplémentaire est réel. Jusqu’à présent, avec le «visa territorialisé» spécifique à Mayotte, un immigrant en situation régulière n’avait l’autorisation de séjourner qu’à Mayotte. Les Mahorais, eux, demandent la suppression de ce titre de séjour exclusif pour évacuer le flux des immigrants hors de leur île. Résultat, on ne fera que déplacer le problème sans le résoudre. Les Comoriens, Somaliens, Congolais vont simplement aller au-delà, vers La Réunion et la métropole. Le risque de créer un appel d’air est réel, même si le taux d’octroi de demandes d’asiles est relativement faible sur l’île (les pays d’origine des migrants à Mayotte correspondent statistiquement moins aux critères du droit d’asile). Si on décide tout de suite de supprimer le visa territorialisé sans prendre aussitôt d’autres décisions pour limiter l’immigration illégale, celle-ci va immédiatement augmenter ! La réforme du code de la nationalité, notamment, devrait survenir avant ou en même temps que la suppression du visa territorialisé, et non après. »
De plus, Madagascar n’est pas loin… Et tout cela aidé par toutes ces associations financées par nos impôts- Et du malheur pour les français. De plus, la Tanzanie va expulser 248000 réfugiés africains où vont ils aller à votre avis ??