Il ne pourra pas intégrer le cortège. Pour le candidat de gauche, il ne fait aucun doute que Jean-Luc Mélenchon était derrière ces actions. Il ne le nommera pas directement mais s’en prendra aux élus LFI. Pour ces derniers, il ne faudrait pas que le succès de Glucksmann dans les sondages éclipse la tête de liste LFI Marion Aubry, fidèle de Mélenchon. La gauche se déchire entre elle, se laissant aller à des élans de haine et de violence sur la scène publique. Peu importe, LFI ne cherche qu’un seul électorat et le candidat PS est une très bonne cible.
Des réactions politiques en cascade
Des Écologistes au Rassemblement national, tous ont condamné la violence qu’a subi Raphaël Glucksmann. Pour le Premier ministre, «la politique ça peut parfois être un combat au sens noble du terme mais ça doit toujours de faire dans le respect de l’intégrité des personnes». Et d’ajouter qu’il «se dressera toujours contre toute forme de violence en politique». Le candidat LR, François-Xavier Bellamy, considère que «l’extrême-gauche n’a rien appris de son histoire: il ne lui manque que le pouvoir pour retrouver la folie totalitaire».
Pour la tête de liste des écologistes, Marie Toussaint, elle condamne «fermement les agissements d’une poignée d’excités qui ne peuvent se prévaloir d’aucune cause pour exclure Raphaël Glucksmann d’un cortège». Quant à Jordan Bardella, RN, il a trouvé cet incident «regrettable». «Il est aujourd’hui isolé dans un paysage politique à gauche violent, radical, intolérant qui réfute même le principe de la démocratie qui fait que quand on est considéré comme trop modéré aujourd’hui à gauche, on n’a même pas sa place dans les cortèges» a-t-il expliqué.
Mélenchon réfute toute responsabilité
Comme à son habitude, le leader insoumis se montrera bourreau et victime. Sur Twitter, il commencera par dire que «tous ceux qui veulent faire allégeance à la lutte des travailleurs pour leurs droits ont leur place le 1er mai». Avant d’ajouter d’un ton plus menaçant qu’«il suffit de s’écarter d’eux s’ils nous déplaisent. Cette action fournit une diversion médiatique contre le 1er mai et un rôle de victime à Glucksmann». Lors d’un rassemblement où il prendra la parole, Mélenchon ajoutera que Glucksmann «aurait dû réfléchir avant de parler et d’accuser La France insoumise». En effet, interrogé par nos confrères de BFMTV, le candidat de gauche avait dit «ne pas connaître personnellement» ceux qui l’ont forcé à quitter la manifestation «mais ce qui est sûr c’est qu’il y avait des drapeaux de partis politiques, des drapeaux de Révolution permanente et de la France insoumise».
La gauche de Glucksmann s’est compromise avec LFI dans la NUPES pour un plat de lentilles et quelques sièges de députés. Ce n’est qu’un juste retour de bâton.
Ne nous y trompons Cette gauche est l’alliée de la macronnie. ils sont solidairement responsables de l’état du pays !
Il faut aller massivement voter pour la droite conservatrice reconquête de Marion Maréchal aux élections européennes du 9 juin si nous voulons inverser la spirale du déclassement et de la submersion migratoire de la France. Après il sera trop tard car tout va se décider à Bruxelles !
Laissons-les s’entretuer. C’est bon pour les français.
C’est sûr! Moins de gauchiottes et moins de mélanconnards=moins d’étrangers à jouer du couteau chez nous!
La gauche victimes de l’extrême gauche !!!