Pourtant, le syndicat Sud Rail prévoit de lancer un mouvement de grève durant les vacances de Noël en cas de non-accord et selon les décisions des autres syndicats, pour protester contre des propositions d’augmentation de salaires jugées insuffisantes. Dans une courrier envoyé aux autres centrales, Sud Rail invite la CGT Cheminots, l’Unsa Ferroviaire et la CFDT Cheminots, à «construire une puissante mobilisation» d’«unité syndicale» ces prochaines semaines sur le «sujet des salaires».
Les Français pris une nouvelle fois en otage
Le climat actuel n’étant pas assez tendu, il faut maintenant brandir la menace de grèves soutenues durant les prochaines vacances. Ainsi, Sud Rail explique que «toutes les options sont sur la table». Fabien Villedieu, un des porte-parole de la Fédération Sud Rail, indique que «Là, on est toujours dans une phase de consultation de l’ensemble de nos adhérents pour savoir si oui ou non on signera cet accord salarial. La première tendance est au non, car l’augmentation générale de 1,8 % proposée par la direction est insuffisante au regard de l’inflation, des problèmes de la SNCF et des bénéfices de la SNCF de 2,4 milliards d’euros». Pourtant, selon Philippe Bru, DRH de l’entreprise ferroviaire, avec les augmentations accordées en 2022 et 2023, les salaires auront progressé de 17% en moyenne sur trois ans, si la proposition pour 2024 est appliquée.
«Une journée de grève au mois de décembre ou une journée qui cible les grands départs à Noël»
Fabien Villedieu n’entend rien céder. Son syndicat est décider à «aller chercher quelque chose de meilleur». En fonction des décisions des trois autres syndicats, «toutes les options sont sur la table, on ne se refusera rien. Peut-être une journée de grève au mois de décembre, ou une journée de grève qui cible les grands départs au mois de décembre? C’est encore trop tôt pour le dire» car cela dépendra «de ce que vont faire les autres syndicats», mais aussi d’éventuels « compromis» et de «ce que décidera l’intersyndicale sur les suites à donner». Pour Sud Rail, afin de «répondre aux problèmes de pouvoir d’achat», «notre revendication est très simple: une augmentation de 400€ par mois. Cela coûterait environ 700 millions d’euros par an à la SNCF qui a réalisé 2 milliards de bénéfices et donné plus d’un milliard au fonds de concours».
Une honte ces gens là sont d’un égoïsme a outrance !! Les Français sont dans une situation financière plus que critique avec des salaires très faibles , et ces personnes qui gagnent correctement leurs vie avec des avantages t’elles que les primes , treizième mois e-c-t , prennent en otage des gens qui veulent juste se retrouvés en famille le temps des fêtes pour échapper a la morosité , il n’y a pas d’autre mots que » Dégueulasse !!
ceux qui font grève ne sont pas les pkus à plaindre.
bonjour vous avez completement raison il faut privatiser la sncf la ratp et tout le reste comme cela ils vairons ce que c est le prive