Il s’agit bien là d’une mise en garde: lundi soir 5 décembre à l’issue d’une rencontre aux Lilas (Seine-Saint-Denis), ils ont publié un communiqué expliquant que «comme la très grande majorité de la population, fermement opposés à tout recul de l’âge légal de départ à la retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation».
Le report de l’âge de la retraite
Vendredi 2 décembre, la Première ministre Élisabeth Borne, dans un entretien au Parisien, indiquait que «le report progressif de l’âge de départ à la retraite de 62 à 65 ans d’ici à 2031, c’est ce qui permet de ramener le système à l’équilibre dans les dix ans». Elle a ajouté que la réforme s’appliquera « à partir de l’été 2023 » pour « la génération née au deuxième semestre 1961 ».
Toutefois, les syndicats, à l’unisson, insiste quant à eux sur le fait que «le système par répartition n’est pas en danger, y compris pour les jeunes générations. Le gouvernement instrumentalise la situation financière du système de retraite et affirme, à tort, que le recul de l’âge légal de la retraite est un impératif».
Un risque de grèves très soutenues avant les fêtes
Si, pour le moment, il n’est pas question de mobiliser largement pour bloquer le pays, des plans sont bien en préparation pour les vacances de Noël. En conséquence, les syndicats ont convenu de se revoir « le jour même des annonces gouvernementales » pour définir une « date de mobilisation unitaire avec grèves et manifestations en janvier si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet ». Patricia Drevon, secrétaire confédérale de Force ouvrière, ira jusqu’à dire que «le gouvernement veut nous faire sortir avant les fêtes pour retourner l’opinion en sa faveur. Nous ne tomberons pas dans ce piège».
Pourtant, un mouvement social est déjà en cours à la SNCF. Mais, les syndicats se refusent en effet à bloquer le pays au moment des fêtes de Noël, ce qui serait forcément impopulaire surtout après les blocages des raffineries. Côté CFDT, on explique que «le projet sera présenté à l’Assemblée nationale en janvier. D’ici là, cela ne sert à rien de lancer un mouvement social, sauf à faire le jeu du gouvernement».
La solution des syndicats est toujours la même: augmenter les cotisations, surtout la part patronale.
or le poids des taxes et cotisations sur les entreprises françaises est tel qu’elles perdent en compétitivité même vis à vis des entreprises européenne. Pas étonnant alors qu’elles délocalisent pour survivre. Mais les syndicats se contre fichent de cela, car n’est ce pas les secteurs non concurrentiels qui font grève?
Les synticacats prêts à tout pour ne surtout pas bosser dans ce petit petit pays de feignasses et d’assistés qu’aucun pays ne veut imiter en rien et en faillite totale. Ha, le grand pays!
Pôvre nul… c’est à se demander si vous êtes Français et surtout quel est votre âge. Contrairement à ce que vous annoncez car nous ne sommes pas un petit pays de feignasses et d’assistés, les feignasses et les assistés sont les étrangers qui pullulent dans notre pays, ces mêmes étrangers qui ont une carte de séjour à vie et de ce fait ont des avantages que les natifs de sol, de naissance avec des ancêtres bien Français n’ont pas : soins gratuits, colis de vêtements tous les trimestres, et j’en passe et des meilleures. Pour l’avoir vécu je sais de quoi je parle, moi seule avec 2 enfants aucune aide… et quand je me suis cassé un poignet et de ce fait ne pouvait pas travailler, était gênée dans ma vie quotidienne surtout pour faire à manger j’ai dû faire appel à une aide sociale que l’on m’a accordé à condition de payer alors que la travailleuse familiale qui venait chez moi un jour dans la conversation m’a informée : qu’elle travaillait dans des foyers d’étranger (je ne dirais pas la nationalité) parce que ces pôvres femmes devaient s’habituer à la vie en France donc il leur fallait une bonne qui leur a bien expliquer leurs droits, les amenait dans toutes les administrations, les amenait faire leurs courses, leur faisait le ménage etc. etc. Alors pb avant de critiquer la France regardez vous dans une glace qui ne soit pas en bois et si la vie dans ce « petit pays » comme vous dites si bien, qui est devenue une poubelle, allez voir ailleurs si vous trouverez mieux.
Le Français critique pour dire de critiquer. Je ne sais plus s’ils sont encore en capacité de voir plus loin que le bout de leur nez. Cest un gros problème en France, qui empêche d’avancer. Peu importe qui on votera (ceux qui y vont) on ne bougera pas d’un cheveux sinon qu’en faisant le forcing n’en déplaise.