
Manifestations à l'appel de la gauche pour défendre l'État de droit, 12 avril 2025 ©Capture d'écran Youtube
Ces rassemblements, visant à défendre «la démocratie» et «l’État de droit», ont peiné à mobiliser les foules, comme l’ont constaté les journalistes de France Info. Cette faible participation contraste avec la mobilisation du Rassemblement national la semaine précédente. Le 6 avril, le parti d’extrême droite a tenu un meeting à Paris, suite à la condamnation de Marine Le Pen pour détournement de fonds publics. Cette décision judiciaire, qui inclut une inéligibilité de cinq ans, compromet sa candidature à la présidentielle de 2027.
Des micros rassemblements plutôt que des manifestations
Les manifestations du 12 avril faisaient suite aux attaques contre la décision de justice qui a suivi la condamnation de plusieurs responsables du RN. À Marseille, le rassemblement prévu à 14 heures devant la préfecture a été annulé faute de participants. À Nantes, environ 200 personnes se sont réunies devant le palais de justice en milieu d’après-midi. À Arras, 80 manifestants étaient présents, selon les organisateurs. David Noël, président de la Ligue des droits de l’homme du Pas-de-Calais, a déclaré sur France Info: «Ce n’est pas si mal, car cela s’est organisé assez rapidement».
À Lyon, quelque 200 personnes ont manifesté, selon la préfecture. À Paris, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées place de la République vers 17 heures, brandissant des pancartes avec des slogans tels que «Touche pas à mon État de droit», «Démocratie menacée, réagissons», ou encore «Menacer l’État de droit, c’est menacer la démocratie». À Bordeaux, la manifestation a rassemblé 260 personnes.
Les organisateurs ne s’attendaient pas à une forte affluence, une semaine après la mobilisation lancée par Les Écologistes et La France insoumise, qui avait réuni tout juste 3.000 personnes à Paris mais avait été boudée par les principales organisations syndicales, les socialistes et les communistes. Les grandes centrales syndicales (CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC ou Unsa) n’ont pas rejoint l’appel, mais les formations de gauche ont répondu présentes.
Faire bonne figure sans parvenir à convaincre
Le Parti socialiste était représenté à Paris par son premier secrétaire, Olivier Faure, qui a rappelé qu’il n’y a «pas de démocratie sans pouvoir et contre-pouvoir». «La justice en fait partie. Et donc, il était légitime qu’on soit là aujourd’hui à l’appel d’organisations non gouvernementales, de syndicats qui défendent justement ces principes qui nous gouvernent, qui doivent continuer de nous gouverner», a-t-il expliqué dans une information relayée par Libération. La cheffe de file des Écologistes, Marine Tondelier, et le numéro un du PCF, Fabien Roussel, devaient participer à d’autres mobilisations en régions. Quant à La France insoumise, elle a exprimé son soutien à «toutes les initiatives prises contre l’extrême droite et ses attaques contre la République».
Salut les fachos.en regardant la place vauban où était l e plus meeting d extrême droite depuis un moment , il faut élargir le champs visuel des caméras !!!!!! O ne peut entasser environ 10000 milles personnes a l intérieur et on ne voit a peine qu un quart de la place ooccupée chapiteau compris!!!!donc il ne faut pas être sorti de Saint-Cyr pour faire le calcul à peine un quart de 10 000 égal environ 2000 personnes!!!! et ça le journal n’en parle pas étrange non triste France 🇫🇷
Les islamo-gauchistes ne sont plus crédibles et ça se paie ! 🙂 🙂 🙂
Les français ouvrent les yeux, enfin !
L’état de droit… le droit de tout faire ???
NON, il y a aussi des devoirs !