Une intervention, prévue pour mardi matin, visait à détruire des bidonvilles insalubres dans un quartier de Koungou, deuxième commune la plus peuplée de l’île. Cette opération avait été décidée dans le cadre de «Wuambushu», lancée par le gouvernement pour réduire l’immigration illégale à Mayotte.
Comme souvent, un désaccord entre justice et ordre républicain
En effet, le tribunal administratif de Mamoudzou a ordonné au préfet de Mayotte de suspendre l’opération visant le bidonville car les magistrats l’ont estimé «manifestement irrégulière» et mettant «en péril la sécurité» des habitants, selon un jugement relayé par France Info. Darmanin a souhaité réagir via les réseaux sociaux et a expliqué sur Twitter que le préfet de Mayotte avait fait appel de cette décision.
Il s’est justifié en expliquant que «ce qui met en danger la population, c’est l’insalubrité, l’insécurité et la non reconnaissance du droit de propriété». Il faut préciser que la population mahoraise et les élus de l’archipel semblent majoritairement défendre l’action des forces de l’ordre. Pour le préfet de Mayotte, Thierry Suquet, la décision du TA est difficilement compréhensible puisque «plus de 45 familles et 100 personnes ont été relogées». Ce qui représenterait «plus de 50% des gens» présents sur place. Il a ajouté que «six arrêtés préfectoraux» ont été pris pour des opérations de démolition d’habitats indignes.
Un déploiement exceptionnel
Camille Chaize, porte-parole du ministère de l’Intérieur, a indiqué que l’exécutif a procédé au déploiement de 1 800 policiers et gendarmes sur l’île, «soit 500 de plus qu’il y a quelques semaines» pour intensifier les contrôles maritimes et terrestres. Elle a ajouté sur BFMTV que «l’opération est en cours, elle continue et ça va même encore s’intensifier […] pour plusieurs mois». Gérald Darmanin a, quant à lui, évoqué «une action difficile mais extrêmement résolue».
Encore une fois Le Super Conseil Constitutionnel entre en scène et ce n’est pas terminé !!!! Le politique en fait n’a plus aucun pouvoir y compris notre ministre de l’intérieur
Que des effets d’annonces rien de concret n’aboutit en fait
Pour rappel
Les membres sont désignés par le Président de la République et le président de chacune des assemblées du Parlement (Assemblée nationale et Sénat).
le président du Conseil constitutionnel est nommé par le président de la République
On voit ce que cela donne.. A bon entendeur
Encore une fois la justice rouge mets des bâtons dans les roues des forces de l’ordre en prenant fait et cause pour la délinquance. Il faut réformer le système de formation et de titularisation des « juges » qui n’est plus à présent qu’un entre-soi gauchiste.
Il est grand temps que l’exécutif montre que l’ordre est géré par le ministère de l’intérieur en faisant appliquer la loi avec ou sans consentement de qui que ce soi.
Si les comoriens terrorise et envahisse Mayotte il est normal que le gouvernement agisse en protégeant les ressortissant « Français » .
Et pourquoi la reconnaissance de propriété est si mal respectée en toute circonstance.