L’idée d’un règlement de compte a rapidement été abandonnée pour laisser place à l’expédition punitive. Deux des agresseurs avaient tenté de pénétrer à l’intérieur de la salle de bal du village. Le vigile ayant refusé de les laisser rentrer, ils lui couperont les doigts et appelleront les membres de leur bande. Sur place, ils vont encercler la petite salle du village de Crépol et «planter» tous ceux qui vont sortir du local. Dans un podcast diffusé par nos confrères du Dauphiné Libéré, les amis de Thomas ont pu décrire ce qu’ils ont vécu cette nuit-là.
Une soirée «d’horreur»
Un des jeunes racontera que «nous étions entre copains pour s’amuser à un bal, rigoler, chanter, boire au bar. On ne pensait vraiment pas que ça tournerait comme ça. Des individus sont venus, tard, un peu avant la fin», raconte celui qui décrit Thomas comme son «meilleur pote». Une jeune fille expliquera qu’«ici, tout le monde se connaît. Mais personne n’a su reconnaître les assaillants», «entre 15 et 20». Selon d’autres témoins, les agresseurs viendraient du quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, commune située à une quinzaine de kilomètres de Crépol et où étaient scolarisés Thomas ainsi que ses camarades. Un autre indique que c’est après avoir découvert que les deux premiers avaient des couteaux sur eux que les vigiles avaient décidé de leur refuser l’entrée. Ils sont alors revenus se venger avec d’autres proches de leur cité. Le jeune homme affirmera qu’«ils ont encerclé la salle des fêtes, ils nous attendaient».
«On est là pour planter les Blancs»
On entend ainsi un des jeunes témoins dire qu’il a entendu clairement les assaillants crier «on est là pour tuer les Blancs, on est là pour planter les Blancs». «Je suis allé dehors, je suis sorti de quelques mètres, je voyais du sang, je voulais savoir ce qu’il se passait, et j’ai vu mon pote se faire tuer devant moi, se prendre des coups de couteau», explique-t-il. Un de ses amis affirmera qu’«en sortant de la salle, sur la gauche, j’ai vu Thomas se battre avec un mec. Un gars m’a frappé avec une pierre derrière l’épaule. J’ai reculé. Je me suis retourné et j’en ai vu un autre arriver sur Thomas. Et il l’a planté. Je l’ai vu partir… Thomas était encore debout. On a essayé de les faire partir. L’un d’eux nous a balancé une pierre dessus, je l’ai esquivé et elle est arrivée sur le crâne de quelqu’un derrière moi, ça l’a séché, il est tombé devant moi. Ils ont commencé à nous insulter, l’un des gars a baissé son pantalon et nous a dit: ’’Je vous pisse dessus’’».
Vous rendez-vous compte qu’ils vont jusqu’à mentir sur le fait que les assaillants, les agresseurs, les sauvages (appelez-les comme vous voudrez) n’auraient parait-il rien dit de tel « on va tuer les blancs » Toutes les ignominies sont acceptables pour trahir le peuple quand on est un ignoble gauchiste anti-français.. Oui, il faut se tenir prêt. Je pense que les choses ne vont pas tarder à dégénérer.
Et en plus on « dresse » les français à ne pas se défendre (voir l’affichette « fuir ou se cacher » où la défense ne vient qu’en dernier, voir ce qui est dit en milieu scolaire).
Pas d’accord avec ça.
La peine de mort pour ce genre d’assassins « gratuits », que ce soit ou non en accord avec les valeurs de l’EU (qui ferait mieux de s’occuper de gagner la guerre en Ukraine)
qu’est ce qu’on attend pour liquider toute cette racaille des banlieues .quand est ce que les français (les vrais)sortiront les armes pour nettoyer laFRANCE de toite cette merde
Les Français des villes ont exécuté les ordres du ministère de l’intérieur (Darmanin), ils ont rapporté leurs armes aux commissariats et aux gendarmeries, maintenant, il leur reste les bâtons ou les manches à balai pour se défendre. Cette situation a été voulue ? Zélenski prépare des soldes défiant toute concurrence.
C’est pour quand la guillotine? Je peux faire les plans pour une « multiplace »