Une professeure de danse à la réputation sans tâche
Valérie Plazenet enseigne la danse depuis des décennies. Elle a bien conscience de l’institution dans laquelle elle évolue et qui a été très souvent aux avant-postes du wokisme, cette notion fait référence au terme «woke», qui signifie être «éveillé», en anglais. En clair, c’est censé être conscient des problèmes de justice sociale et de racisme. Mais, cela semble donner droit aux militants de rapidement tomber dans l’extrémisme.
Ici, alors qu’elle est accusée d’avoir refusé de faire danser ensemble deux personnes du même sexe et d’avoir voulu maintenir des rôles d’«hommes» et de «femmes» dans son cours, Mme Plazenet s’est défendue d’avoir tenu des propos discriminants et dénonce une manipulation de la «théorie du genre». Elle maintient, dans le même temps, que dans la danse, discipline qu’elle enseigne donc, un homme devrait accompagner une femme. Par conséquent, dans la logique wokiste, il est sexiste et discriminant de vouloir que Roméo et Juliette soient joués par un homme et une femme.
La direction de Sciences po directement responsable de telles dérives
La professeure de dans a expliqué que la polémique aurait démarré lorsque Sciences Po aurait «changé les inscriptions «hommes et femmes» pour les remplacer par «leaders et followers». Une incompréhension pour Valérie Plazenet qui refuse ces nouvelles mentions, et qui a affirmé devant ses élèves sa volonté de maintenir les termes «hommes et femmes» en expliquant que dans la danse de salon «il y a une notion de séduction entre les couples d’hommes et de femmes». Crime de lèse-majesté dans une école qui veut concurrencer les campus universitaires américains les plus durs en la matière.
Si ces propos ont choqué quelques élèves, l’un d’eux a décidé de porter plainte dénonçant des propos «sexistes, dégradants et discriminatoires». D’après elle, une des élèves lui aurait notamment expliqué qu’elle ne «voulait pas être appelée femme» et qu’elle ne souhaitait pas se voir imposer «un rôle de femme». La professeure accuse clairement l’école d’avoir exercé une forme de «censure» et de «pression» sur elle pour qu’elle s’excuse auprès des élèves et qu’elle accepte de changer ces formulations traditionnelles.
Patience. Dans peu de temps cette institution s’appellera « science pot de chambre !! »
moi je suis breton, alors la france … c’est loin de moi !
Quand on voit comment est traitée la langue française ( même sur ce site : « Show more comment » et « Close comment » par exemple) il n’y aurait plus qu’à espérer une révolte magistrale de la terre pour qu’elle se dépollue ?
Mais non, restons zen et disons nous bien que si le langage de Bérrurier(º) a été très apprécié, il n’est pas rentré en totalité dans la langue française !
Et tous ces petits combats sont juste là pour ne pas voir les plus grands désastres orchestrés !
Ouvrez les yeux plus loin que votre pré-carré(²) !
(º) &(²)vous ne connaissez pas ? C’est bien la preuve de ce que je déclare !
C’est inquiétant de voir ça à Sciences Po parce que c’est censé former une partie des élites du pays.
J’espère que la professeure pourra trouver un meilleur emploi ailleurs, où elle sera mieux respectée et mieux rémunérée. Quand on est élève on respecte le professeur ou on part.
Enfin et de façon moins soutenue, ce n’est pas la peine de nous « bourrer le mou » avec la lutte contre l’extrémisme et la radicalisation partout (école avec ses exercices de confinement en cas d’attaque terroriste, média, etc.) si c’est pour voir aussi extrémiste dans des sphères proches du pouvoir.
Tout cela me donne la nausée.