L’idée n’est pas nouvelle. Elle est sur le bureau de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, depuis plusieurs mois. Toutefois, l’inflation extrêmement forte et incontrôlée de deux derniers trimestres ont amené Bercy à accélérer la cadence. Toutefois, il n’y aura ni loi ni décret. Par conséquent, le «panier» ne sera pas obligatoire et dépendra du bon-vouloir des géants du secteur.
L’équilibre entre les besoins du consommateur et les marges du distributeur
Des discussions sont engagées entre le gouvernement et la grande distribution. Le ministère indique que, si un accord est trouvé, la mesure pourrait s’appliquer à «une vingtaine de références sur 20.000 à 30.000 références en magasin», et ceci pour ne pas pénaliser le chiffre d’affaires des commerçants. Par conséquent, Le Maire concentre les négociations sur les produits de première nécessité afin d’obtenir les prix les plus bas possibles.
Par conséquent, les produits concernés seraient les pâtes, le riz, les œufs et les produits frais comme le lait et le beurre. De même, il y aura également les produits d’hygiène pour les adultes mais aussi les bébés. Toujours dans une logique d’équilibre économique, tous ces produits seront issus des marques distributeur. Ainsi, ils varieront selon les enseignes.
En parallèle, le gouvernement s’apprête à faire voter une loi qui ferait augmenter les prix jusqu’à 30%
C’est toute la difficulté de ces concertations. D’un côté, l’exécutif veut montrer qu’il comprend la difficulté du quotidien des français mais, de l’autre, il porte un texte qui détruira son pouvoir d’achat au point où ce sont les patrons des grandes enseignes qui s’opposent à ce texte. Dans un communiqué publié dimanche dernier, la grande distribution a dénoncé une réforme débattue lundi 16 janvier qui «alimenterait dramatiquement et durablement» la hausse des prix.
Un panier anti-inflation de 20 produits de première nécessité ? mais de qui se moque-t-on ? Ce qu’il faut c’est 100 produits à taux zéro et une diminution des taxes sur toutes les formes d’énergies. Marine Le Pen propose depuis longtemps une taxe de 5,5%. Mais les taxes actuelles rapportent tellement de centaines de millions à l’État que nos gouvernants ne veulent pas y toucher. Et que Mr Macron fasse preuve d’un peu d’humilité et reconnaisse que si le prix des énergies est aujourd’hui insupportable pour tous les Français, c’est par son absence totale de responsabilité, de lucidité, de prévoyance et de vision à long terme. Car si Fessenheim n’avait pas été fermé pour plaire aux « écolos » et pour assurer sa réélection nous aurions près de 2 GW électrique en plus. A savoir 2000 éoliennes pour 1 réacteur nucléaire et 2 fois + cher.
Votre exposé reflète la réalité, mais n’oublions que les français ont fait barrage a MLP et maintenant ils se lamentent de leurs misère, reste 4 ans1/2 de déclin total… B journée !!
les sortants de l’école des « ANE » frappe encore, après l’accord de l’europe sur l’énergie et les taxes diverses ou fiscalité rampante, les aides au plus précaires les autres paieront le prix fort. il faut bien financer le coût des migrants et les subventions a leur pays d’origine. je parle pas des travaux pour l’économie d’énergie, qu’on puisse les payés où non. eux ils s’en foutent ils s’octroieront des primes exceptionnelles et non statutaires. les autres auront droit à la galère du quotidien.