Des retours qui interpellent fortement l’opinion publique
Plusieurs opérations de rapatriement de personnes détenues en Syrie ont été organisées par les autorités françaises depuis un premier retour groupé de 35 mineurs français et 16 mères au début du mois de juillet dernier. La dernière en date a eu lieu ce mardi 24 janvier, comme l’a annoncé le Quai d’Orsay par le biais d’un communiqué. En effet, nous avons appris que ce sont 32 enfants et 15 femmes détenus dans des camps syriens qui ont été rapatriés en France. Les mineurs ont été confiés à l’ASE et les femmes ont été remises à la justice.
Parmi les 15 femmes, âgées de 19 à 56 ans, le Parquet national antiterroriste a précisé que sept d’entre elles faisaient déjà l’objet d’un mandat d’arrêt et seront présentées à un magistrat instructeur dès leur arrivée en France. Les huit autres ont été placées en garde à vue en exécution d’un mandat de recherche. Pour rappel, après la chute de Daech en 2019, de nombreux gouvernements se sont longtemps refusés à rapatrier les femmes qui avaient rejoint les rangs du groupe État islamique en Syrie ou en Irak. La raison est simple: ils craignent des menaces sécuritaires et des réactions négatives des opinions publiques sur le retour de personnes radicalisées. Mais les critiques récurrentes de l’Onu, de l’Unicef, de différentes ONG humanitaires ou encore de la Cour européenne des droits de l’homme ont favorisé une accélération des rapatriements.
Un changement de politique en France poussée par des associations militantes
La France fait partie des pays dont la politique sur la question a changé car l’État refusait jusqu’alors le rapatriement des Françaises ayant rejoint Daech, estimant qu’elles devaient être jugées sur place et décidait au cas par cas pour le retour d’enfants. Selon un chiffre communiqué en décembre à l’agence Reuters par Badran Jia Kurd, haut responsable de l’administration régionale autonome, on compterait actuellement plus de 10 000 femmes et enfants étrangers qui sont encore retenus dans les camps de détention pour les familles de djihadistes d’Al-Hol et Roj, dans le Kurdistan syrien. De nombreuses ONG ont dénoncé les conditions sanitaires régnant dans ces camps délabrés et surpeuplés.
Ces femmes sont partie volontairement de France, elles ont renié leur origine, elle ne sont plus Française (l’ont elles été un jour?). Les enfants, ont été élevés dans la haine des Français. Alors pourquoi héberger et nourrir ces futures assassins? Il y a assez de fout la merde en seine Saint Denis sans en rajouter. Mais ceux qui décident ne vivent pas avec ces racailles, ils sont bien protégés dans leur logement de 300 M².
J’appelle ça mettre des loups dans la bergerie !!
C’est vrai ! Femmes et enfants ne sont que de potentiels terroristes !
C’est encore une fois la main tendue à l’insécurité. Preuve de laxisme et manque de fermeté, le gouvernement français. Toujours d’accord pour voter pour les mêmes?
Elles sont peut être française de naissance, mais leurs mômes sont à mon avis majoritairement étrangers et nait hors sol français, nous n’avions donc aucune obligation à recevoir cette future racaille, mais ce gouvernement comme d’habitude fait n’importe quoi sans prendre l’avis de son peuple.
Absolument ! Cela demandait un Référendum ! On nous impose des racailles , des traitres , et des gamins , futurs terroristes , élevés dans la haine de la France , comme si nous n’en n’avions pas déjà assez avec les migrants !!!!!!!!!! Mais le Poudré se fiche pas mal de nos choix !