Il ne s’agissait que d’une proposition de loi il y a encore deux semaines
Le texte, porté par le député Renaissance Frédéric Descrozaille, veut renforcer le pouvoir des industriels dans leurs négociations tendues avec la grande distribution. Après le Sénat, mardi, l’Assemblée nationale a validé à l’unanimité mercredi 22 mars (117 voix, aucune contre) une série de mesures visant à s’attaquer au «déséquilibre structurel» entre, d’un côté, les fournisseurs, et de l’autre, les gros acheteurs comme Leclerc, Carrefour ou Intermarché. Le député marcroniste explique vouloir ainsi dissiper le «flou juridique» existant en cas d’échec de la négociation commerciale annuelle. Elle est programmée de décembre à mars pour les produits qui remplissent les rayons des commerçants.
De plus, l’accord trouvé en Commission mixte paritaire ne prolonge plus que jusqu’en 2025, et non 2026 comme prévu initialement, «l’expérimentation de l’encadrement du seuil de revente à perte» pour les produits alimentaires, qui arrivait à échéance en avril. Cette mesure avait été adoptée pour protéger le revenu des agriculteurs. Ainsi, la loi Egalim 1 obligeait déjà les supermarchés à vendre les produits alimentaires au moins 10% plus cher que le prix auquel ils les ont achetés. Paradoxalement, les fruits et légumes frais ont été exclus au fil de l’examen du texte. Les associations de consommateurs demandait déjà la «suppression immédiate» afin d’alléger le poids de l’inflation.
Des explosions des prix jamais vues attendues très bientôt
De fait, le nouveau texte proposé par la macronie entraînent la fin des grandes promotions sur les produits non-alimentaires. Elles seront plafonnées à 34% de réduction. La fédération patronale de la grande distribution a jugé cette mesure «irresponsable et inflationniste». Même le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, s’était montré défavorable à cette mesure. Il souhaitait que les distributeurs puissent «faire des promotions pas simplement à 34% sur les shampoings, les produits d’hygiène, les produits détergents, mais jusqu’à 50%». Il n’aura pas été entendu.
je n’en suis pas sure, faut vérifier, mais on peut acheter 1 seul article d’un lot: yaourt, oeuf … et ce en divisant le prix du lot par le nombre d’articles. Si tel est le cas, on prend 1 rouleau de papier Q, 1 flacon de shampooing du lot en promo et voilà !!! Mais, à vérifier, en tous cas je n’ai jamais vu de panneau indiquant l’obligation de tout prendre ou bien » ne peut être vendu séparément « .
Lorsqu’on n’est pas sûr il vaut mieux s’abstenir de faire des commentaires. Avec un peu de réflexion on peut se poser la question de la manière dont va opérer la caissière pour calculer le prix à l’unité de certains articles… Il est bien expliqué que certains articles, yaourts notamment ne peuvent faire l’objet d’une vente à l’unité.
La même remarque est valable pour les articles cités. Que ferait la caissière, couper le code barre en nombre d’articles sur le tapis !!!!!!!!
La loi le permet mais en pratique. ..pas pratique.
Jojodu 64! ! Tu n es pas obligé de répondre sur ce ton 😊 les réflexions est questionnements sont légitimes
Après faut pas s’étonner qu’il y ait des manifs
Quand on sait déjà que les soit disant promo ne doit en fait qu’une grosse arnaque pour ke consommateur qui paye moins cher au détail qu’en lot ! Un écran de fumée encore !
Les macronistes n’ont pas de difficultés pour s’alimenter !!Eh puis il faut financer les j.o. 2024 !!
Où ces fils de putes veulent-ils nous laisser ?
RIEN N’EMPECHE DE RESTER COURTOIX
je suis contre le fait qu’il faille acheter 2 ou 3 produits identiques pour bénéficier d’une reduction , les commerçants n’ont qu’a baisser lerpix sur 1 produit et cela fare l’affaire de tous!!