Trois hommes âgés de 18 à 20 ans ont été arrêtés, jeudi 13 avril à Nanterre. Ils sont soupçonnés d’avoir prostitué de force deux jeunes filles, dans des hôtels ou des appartements loués sur Airbnb.
Un véritable réseau de prostitution des cités
Trois hommes, âgés de 18 à 20 ans, ont été mis en examen, jeudi 13 avril, à Nanterre (Hauts-de-Seine), pour proxénétisme aggravé. Ils sont accusés d’avoir exploité deux jeunes filles de 14 ans et 15 ans, pour se faire de l’argent facilement. Ils les fonçaient à faire dix passes par jour, souvent sans protection, dans des hôtels ou des appartements loués sur Airbnb. Les trois hommes ont mis en place un véritable réseau de prostitution des cités, dans le Val-de-Marne et à Paris.
C’est l’adolescente de 15 ans qui finit par se rendre dans un commissariat avec sa mère. Elle confie qu’elle est sous l’emprise d’un garçon de son quartier, qui la force à se prostituer dans des hôtels et des logements en location et parle de tout un système, où elle aurait été contrainte de vendre son corps entre juillet et septembre 2022 pour le compte d’une connaissance. Les deux autres garçons assuraient la sécurité des passes. Les prestations sexuelles étaient facturées 80 ou 150 euros, selon Le Parisien.
Plusieurs dizaines de passes par jour
Durant l’enquête, les policiers constatent qu’une fugueuse de 14 ans, qui n’est pas originaire de la région parisienne, a, elle aussi, été victime de la même équipe. « Cette dernière raconte que ces hommes l’obligeaient à assurer plusieurs dizaines de passes par jour et à privilégier celles non protégées parce qu’elles sont plus lucratives », d’après une source proche.
Les trois accusés présumés sont interpellés le mardi 11 avril, à leur domicile de Clamart par les agents du service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine. Ils sont placés en garde à vue à Nanterre. Un seul d’entre eux reconnaît son rôle d’agent de sécurité. Les deux autres ont nié en bloc.
Que des politiciens accusés d’agressions sexuelles s’en sortent pour vices de procédures, et que par la suite l’assemblée nationale votent des lois qui permettent à ces gens de ne plus être attaqués et attaquables, ça ne dérange personne.
La justice n’est pas faite pour dire qui a tort ou a raison, mais uniquement à démontrer s’il y a eu des failles ,vice de procédures etc etc.
Au plus cher l’avocat est, au plus il saura jouer avec les textes de lois, et faire durer / reporter des procès jusqu’à trouver un accord, ou bien jusqu’à péremption de l’accusation.
Le système est plein de failles, et tant qu’il en sera ainsi il y aura toujours des gens qui malheureusement continueront d’en abuser.
Pour en revenir à cette histoire, cela n’est pas la première fois que de tels faits divers se déroulent.
Ce qui est le plus dérangeant, c’est que sachant cela , rien n’ait été fait à jusqu’à ce jour ralentir ou stopper des actes similaires.
Pauvres gamines victimes d’êtres sans aucun scrupule. Dégueulasses est le seul mot qui leur convient et prison ferme le seul verdict à leur appliquer .
seule une justice avec tolérance ZERO peut venir à bout de crapules ;dab ns ce cas par exemple 10à15 ans FERME tout le reste n’est qu’enfumage!!!!
Bravo, minimum 15 ans ferme, pas moins , et pour le chef perpétuité.
Voilà pour moi une vrai justice. Deux jeunes filles marquées a vie , c’est comme des multiples viols , commis en vers elles.