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Le parquet de Libourne a annoncé, mercredi 7 mai, la levée des gardes à vue de quatre jeunes interpellés après l’agression d’un conseiller municipal à Gauriaguet, en Gironde. Deux mineurs de 15 et 17 ans et deux majeurs de 18 et 21 ans avaient été placés en garde à vue mardi matin. Dans les colonnes de La Charente Libre, le procureur Loïs Raschel indique que «les éléments recueillis ne permettent pas à ce stade de retenir leur implication dans les faits de violence».
L’enquête se poursuit
Plusieurs individus sont toujours activement recherchés. L’un d’eux aurait quitté le territoire national après les faits, selon le parquet. Alors qu’un élu a été violemment agressé lors d’un rodéo urbain, cette décision de relâcher les gardés à vue fait polémique. Pour rappel, les faits se sont déroulés samedi 3 mai en fin d’après-midi.
En effet, un conseiller municipal de Gauriaguet a tenté d’intervenir auprès d’une quinzaine de motards. Ces derniers pratiquaient un rodéo urbain sur un terrain de ball-trap communal. Peu avant, il avait failli être percuté par une moto dans une rue du village.
Toujours selon le parquet, le ton est monté. L’élu a été violemment frappé au visage avec un objet métallique. D’après les informations du Figaro, il a ensuite été roué de coups au sol, perdant brièvement connaissance. Transporté aux urgences, il souffre de fractures à l’arcade sourcilière, au nez et à la pommette droite.
Une information judiciaire pour violences aggravées et non-assistance à personne en danger a été ouverte contre X. L’enquête est confiée à la brigade territoriale autonome de Saint-André-de-Cubzac et à la brigade de recherches de Blaye.
Contexte et suites judiciaires
Cette agression survient dans un contexte de recrudescence des rodéos urbains en France. En mars 2024, le Parlement a aussi adopté une loi alignant les sanctions pour violences contre les élus sur celles prévues pour les dépositaires de l’autorité publique.
Par ailleurs, dans une affaire distincte relevant du même parquet, un homme de 36 ans a été interpellé mardi à Libourne pour menaces de mort contre le maire de la commune. Après avoir été verbalisé pour dépôt sauvage d’ordures, il aurait déclaré vouloir «tirer une balle dans la tête» du maire et «faire exploser la mairie». Des armes ont été découvertes à son domicile lors d’une perquisition.
Le laxisme de l’éducation parentale est responsable de cet etat de fait ainsi que l’éducation nationale. Le respect, la tolérance, la patience ne sont plus des mots qui font partie du vocabulaire.
Seul la force, l’intimidation, les insultes sont leur lev motiv. Les parents laxistes devraient eux aussi etre sanctionnés financièrement quand leur rejetons mineurs font preuve d’incivilité grave, de délits et j’en passe.
Mais ca c’est fini aujourd’hui, avec les réseaux sociaux pour les conforter dans leur violence….
Ainsi ils vont pouvoir recommencer très bientôt !!! Ah, elle est belle la justice en France !!!
Tout commence malheureusement de la faute des parents et ensuite à l,école ou il il aura toujours un mauvais prétexte, pour ne pas sévir. Après quand des gens de l,extérieure leurs faits comprendre que dans la vie ils y à certaines règles à respecter et que tout n’est pas permis. Ils ne comprennent pas et ils deviennent agressifs, ont voient le résultat après.
Seul une justice type salvadorienne pourra calmer les racailles qui sévissent en France.
Mais la cour européenne des droits de l’homme mettrait son veto immédiatement.
Ce genre d,abruti, qui ne supporte pas les interdits dans la société. En taule directement pour les faire réfléchir un peu sur leurs comportements, même 15 jours.