Quatre individus qui n’appartiennent pas au lycée Georges Braques d’Argenteuil, lundi 17 avril, on surgit au milieu d’un cours de philosophie. Un élève de terminale et un professeur ont été agressés.
Gaz lacrymogène
Quatre hommes ont réussi à s’introduire dans l’établissement, lundi 17 avril. Ils se sont rendus dans une salle pour frapper un élève, alors qu’un cours avait commencé. Un professeur a tenté d’intervenir. Il a été aspergé de gaz lacrymogène, « tout comme l’élève visé », détaille Le Parisien.
Pour entrer, les inconnus ont profité du désordre qui régnait dans le couloir, au moment où la professeure a voulu faire entrer les élèves dans la salle de classe. Ils se sont engouffrés en se mélangeant au groupe. Ils sont un peu plus âgés que les élèves de cette classe de terminale. Rapidement, elle remarque du bazar au fond de la salle, avant de constater qu’un jeune est en train de se faire frapper. Certains élèves filment la scène. Le professeur, dépassé, va chercher un collègue dans une salle voisine.
Une zone de non-droit
« Il n’y a plus de frontière. On est juste le prolongement de la rue. Ce qui se passe à l’extérieur, peut se passer dans nos salles », regrette un enseignant. « Passé la grille d’entrée, il n’y a plus de contrôle. Ça devient une zone de non-droit », dit un autre. D’après ce dernier, le problème, c’est que l’établissement manque de surveillants.
Les enseignants ont donc fait valoir leur droit de retrait, pour ne pas faire cours le mardi 18 avril 2023. Une disposition qui leur permet de refuser d’assurer leur mission quand leur situation présente un danger grave et imminent. Marcus un élève se sent triste pour le professeur, « en plus, il est gentil ».
C’est ne pas ce lycée que notre président est allé visiter pourquoi ?????
Ce n’est pas Macron qu’il faut envoyer mais un militaire armé à l’entrée de chaque collège qui n’hésite pas à tirer !…..
Connaissant bien le lycée je me pose la question du comment sont-ils entrés?
Autrefois, il y avait une cahute a l’entrée avec un vigil- surveillant demandant la carte d’étudiant.
Personne ne pouvait passer sans cette carte.
Cette sécurité à l’entrée fut installée suite à de nombreux événement similaires, et empêcher l’entrée aux personnes ne fréquentant pas l’établissement.
Même en ayant un rendez vous, il fallait attendre confirmation au portail pour pouvoir entrer.
Ps: l’établissement étant entouré par des habitations, il était impossible de faire le mur pour s’introduire illégalement.
je pense que ce chérubin n’ est pas clair du tout, encore une histoire de violence sur fond de trafic , on ne se fait pas agresser sans motif , a t il déposé plainte pour cet acte!!!!. malheureusement ce sont encore les profs qui trinquent en voulant s’ interposer
Bien d’accord avec vous!
Une HONTE ! Notre Pays devient une honte !