Ce fonctionnaire a été condamné à dix mois de bracelet électronique, mercredi 12 juillet, après avoir tiré sur un homme de 30 ans, issu de la communauté du voyage, en 2019. Le policier état saoul et avait fumé du cannabis.
Il revenait d’une douzième manifestation de Gilets jaunes
Dans la nuit du 2 au 3 février 2019, Mikaël M. a été tué par le tir d’un policier de la Brigade anticriminalité (Bac) de Nantes, rapporte Le Parisien. Des faits pour lesquels le fonctionnaire a été condamné dix mois de bracelet électronique pour « violences aggravées », mercredi 12 juillet. Le jour des faits, le policier revenait « d’une douzième » manifestation « assez violente » de Gilets jaunes. Il boit « deux bières » au commissariat et « quatre verres » de rhum orange.
L’homme, qui était hors service, raconte d’abord aux enquêteurs qu’il a rencontrés des gens qui « venaient de finir un cambriolage » et que ces derniers l’avaient frappé. En fait, les personnes dont il parlait, deux hommes et leurs compagnes, revenaient d’une soirée d’anniversaire. Ils se sont tous arrêtés, près des fenêtres de l’homme pour « acheter des cigarettes et uriner ».
Un justicier bourré, pas en position de donner des leçons
Selon eux, l’homme était « très énervé et a surgi en criant qu’il avait une arme et leur a tiré directement dessus ». Il se trouvait « entre 30 et 50 centimètres » de sa victime de 30 ans, selon l’expert balistique. Il a toujours « des complications liées à des troubles digestifs », d’après son avocat, Me Pierre Huriet. Quant à l’accusé, il assure que son seul mensonge a été de ne pas avouer qu’il s’est « laissé aller à une taffe sur un joint ». Il dit aussi qu’il « intervenait régulièrement dans un appartement de son quartier, calme et résidentiel où des jeunes faisaient souvent la fête pour leur demander de faire moins de bruit ».
Comme il craignait les représailles de la communauté des gens du voyage, il a quitté Nantes » illico presto sur conseil de sa hiérarchie ». Il habite aujourd’hui à Rennes et travaille pour un promoteur immobilier. « Ce qu’il s’est passé, c’est qu’on a un groupe de voyageurs qui fout le bordel dans un quartier bourgeois en se charriant à qui fait pipi le plus loin. Ce justicier bourré n’était surtout pas spécialement en position de donner des leçons », d’après son avocat Me Huriet.
Je ne comprend pas que sa hiérarchie et ses collègues n’ont pas vu avant ce qu’il valait et faisait, c’est incroyable quand on connait des collègues on se permet de ne rien dire et surtout par la hiérarchie..!, c’est déplorable, il faut que la famille de la victime porte plainte contre cette hiérarchie qui ferme les yeux et cela est souvent le cas….!
Quelle indulgence scandaleuse pour les forces de l’ordre, même en cas de meurtre ! Car ici, c’est bien de meurtre qu’il s’agit, meurtre d’un homme de 30 ans, dont le délit puni de mort était simplement d’uriner dehors dans un coin !
Cette société me dégoûte et me désespère.
Ce verdict ne fait que confirmer l’IMPUNITE des Forces de l’ordre!!!
Il n’y a rien à ajouter
10 Mois de bracelet éléctronique pour un Meurtre???
Cet article est scandaleusement mal écrit sûrement par un stagiaire de 3éme pas très littéraire et relu par son petit frère.
Non, si je lis bien ce verbiage sans queue ni tête, je cite « Il a toujours « des complications liées à des troubles digestifs », d’après son avocat ». Donc pas de meurtre et c’est heureux, car la condamnation aurait pour le coup été infiniment plus scandaleuse que la rédaction de cet « article ».