Ainsi, Emmanuel Macron a dit souhaiter un «mouvement massif» de déconcentration des services centraux au niveau du département. Et d’insister sur le fait que «le préfet de département doit être un patron de l’État». Il n’a pas caché que cette volonté est liée à son ras-le-bol d’être au centre de toutes les critiques.
Un décalage entre les «engagements» du gouvernement et leur mis en place
Macron souhaite que les simplifications administratives s’accélèrent. Il a demandé aux hauts fonctionnaires, lors des Rencontres des cadres dirigeants de l’État qui se sont tenues mardi 12 mars, de «simplifier plus vite» l’action publique et d’être au rendez-vous, sur le terrain des «engagements» pris par le gouvernement, constatant qu’à la fin «c’est bibi qui paye». Si une partie de ces cadres étaient présents physiquement, d’autres ont assisté à cette réunion par visioconférence. Macron n’a pas manqué de prendre un tournant inattendu lors de ce rendez-vous avec la haute-fonction publique en ramenant la simplification administrative souhaitée aux critiques qu’il reçoit lors de ses déplacements. Il dira ainsi en avoir assez d’entendre: «il vit ailleurs», «il est déconnecté», etc.
Changer la culture administrative de la France
«Si nous savons nous réformer nous-mêmes, changer de culture (administrative), nous pouvons être un des premiers pays à répondre à cette crise de confiance» a asséné le chef de l’État devant les 700 cadres dirigeants de la fonction publique présents. Il a alors insisté sur le rôle du préfet: «Le préfet de département doit être un patron de l’État». Macron souhaite ainsi un «mouvement massif» de déconcentration des services centraux au niveau du département. «La bonne maille est départementale, la déconcentration régionale n’est pas perçue comme une déconcentration» ajoutera-t-il tout en demandant moins «de délais, de paperasses».
Du bla-bla qui ne veux rien dire comme d’habitude, juste vouloir se faire mousser comme il sait si bien le faire… mais le résultat reste le même : la France n’est plus la France, personne n’est en sécurité maintenant dans ce pays. Par contre pour saigner à blanc les contribuables ça il sait faire et les membres de son gouvernement plus que grassement payés à rien faire de bien aussi savent faire : tout pour leur porte-monnaie déjà ultra bien garni rien pour les « petites gens » qui triment et crèvent de faim.
Complètement d’accord avec vous, mais qui a voté pour ses pourris.?, fallait s’y attendre un ancien ministre de Hollande.?, il ne fallait pas s’attendre à des merveilles, tout pour eux et des miettes pour les autres, quand vous voyez les demandes d’augmentations des députés et sénateurs c’est vraiment de l’abus mais les veaux français ne s’en rendent même pas compte, ils donnent 5% aux petits et surtout moyens français au-dessus des primes et qui n’ont droit à rien mais reprennent 20% d’un autre côté, ils savent compter ses abrutis mais les français sont fiers de leur président ils sont fiers de se faire arnaquer, plus truand que ce gvt il n’y a pas mieux.