Une femme de 34 ans a été agressée en pleine rue et en plein jour, vendredi 26 avril, à Toulouse, en se faisant violemment étranglée par un homme à qui elle n’a pas pu donner la monnaie qu’il lui réclamait.
« Il m’a craché au visage »
Une femme de 34 ans a été agressée en pleine rue et en plein jour, vendredi 26 avril, à Toulouse. « Il m’a étranglée, je ne pouvais plus respirer. J’ai cru mourir. Je suis auxiliaire de vie et je venais de partir de chez une patiente. Je me trouvais rue Denfert-Rochereau, derrière le boulevard de Strasbourg », raconte-t-elle auprès du Dauphine Libéré.
L’homme l’aurait abordé dans la rue, pour lui demander de la monnaie, et elle lui aurait dit qu’elle n’en avait pas. C’est alors qu’il commence à l’insulter « comme pas possible puis il m’a craché au visage ». Puis, « il s’est approché de moi et m’a frappée au visage. Il a attrapé mes cheveux et les a tirés pour les ramener au niveau de ses pieds. Ensuite, il a mis ses pieds sur mon dos ».
Un homme vient la délivrer de son agresseur
La jeune femme voit qu’une bouteille de bière en verre se trouve au sol. « Je l’ai récupérée et je l’ai jetée pour l’empêcher de me faire mal avec. Il m’a relevée tout en me tirant les cheveux et il m’a étranglée avec ses deux mains« . Selon elle, des passants auraient filmé la scène sans réagir. Alors qu’elle n’arrive plus à respirer, il crie qu’il va la tuer. Finalement, elle réussit à demander à une jeune fille de contacter la police. Cette dernière tente de raisonner l’agresseur et la victime en a « profité pour appeler moi-même la police. Quand il a compris ce que je faisais, il a continué à me frapper ».
C’est un homme qui vient la délivrer de son bourreau. L’agresseur a été interpellé et placé en garde à vue. Quant à la victime, « quand je touche mes cheveux, ils s’arrachent« . Elle se dit choquée et traumatisée. « Je n’ai rien fait de mal ! J’ai peur d’aller dehors. C’est mon trajet de travail », déplore-t-elle.
Toutes les personnes qui ont filmé ou photographié SANS intervenir savent-elles que l’on peut les accuser de non assistance à personne en danger ??? j’espère que le karma les mettra dans une situation similaire pour voir et ressentir ce que cela fait…..
Et ce qui m’interpelle encore plus, c’est que les gens ne réagissent pas ! Ils sont témoins d’une agression et il ne leur vient pas à l’idée d’intervenir ou d’appeler la police ??? Nous sommes vraiment dans une drôle de société !!!
Des cons ou des connes il n’y a que cela, ils prennent des vidéo et ne lèvent pas le petit doigt, on vit dans un monde d’abrutis, tout ce que j’espère c’est qu’ils leurs arrivent la même chose et que tous ses connes et cons ne bougent pas pour leurs faire voir ce que cela fait d’être pourries jusqu’à l’os…..et ensuite d’envoyer ses vidéo sur les réseaux sociaux….
Vous rêvez ! C’est le contraire. Plus la délinquance augmente, plus ils veillent au grain pour empêcher les français de s’armer afin de se protéger. Ce n’est pas une parole en l’air, hélas, c’est la vérité. La DGSI est sur le qui vive. Nous en sommes là.
Heureusement, nous avons un pouvoir qui veille et comme à son habitude, au lieu d’agir sur le terrain, il vont agir sur les chiffres. C’est à dire qu’au lieu d’essayer d’endiguer cette multiplication d’attaques barbares sur notre population, ils vont désormais rassembler tous les gestes de délinquances ensemble afin de faire disparaître ces agressions de la comptabilité.
Cela me sidère lorsque j’entends que c’est encore la faute à Macron. Vous ne savez vraiment pas ce que vous dites et surtout je vois beaucoup de conneries qui se diffusent sur les réseaux sociaux.
Il n’y a pas plus de faute à Macron qu’à d’autres chefs d’états. Qu’il y ait des problèmes dus à la gouvernance ne date pas de Macron mais cela a toujours été.
Il est sur qu’il faut prendre des mesures mais dès que l’on en prend une il y a pleins de défenseurs de la veuve et de l’orphelin qui se mettent à manifester leur mécontentement avec force ( même s’ils ne sont ni veufs ni orphelins). Je suis abasourdie par tous les commentaires haineux que j’entends et vois.