Tout d’abord, les premiers s’interrogent sur les raisons de citer cette banque comme exemple alors qu’il s’agit d’un fleuron de l’économie française et, qu’en plus, elle est en parfaite santé financière. Les seconds se demandent si, dans le cas où une telle entreprise, si importante pour le pays, serait en difficulté, pourquoi préférer la céder à des concurrents étrangers plutôt que de lui venir en aide. Entre «grande braderie» et «trahison», les réactions ne cessent de tomber depuis de cette déclaration.
Emmanuel Macron vient pourtant du monde de la finance
Durant cet entretien, qui n’avait rien d’un piège, le chef de l’État a évoqué la possibilité de céder la Société Générale à une autre banque européenne. Quand notre confrère de Bloomberg lui pose la question de savoir s’il est opposé à une telle cession, le président français répondra: «Oui, bien sûr, c’est possible». « Cela fait partie du marché. Agir en Européens signifie avoir besoin de consolidation en tant qu’Européens» a-t-il déclaré. Cette déclaration est dans la droite ligne de sa volonté de partager la puissance nucléaire française avec les pays membres, renonçant ainsi à la souveraineté française sur l’arme la plus puissante du monde.
Une erreur de communication selon l’Élysée
Dans les colonnes du Figaro, un analyste financier, manifestement agacé par les propos du locataire de l’Élysée, dira: «C’est comme si le Président avait mis un panneau “à vendre” sur la Société Générale». Nicolas Dupont-Aignan parlera directement de «trahison», quand Thierry Mariani comparera Macron à «un liquidateur». Nos confrères du Figaro explique que la faible valorisation du titre de la Société Générale amène qu’elle soit la cible de plan de rachat européen.
Toutefois, la banque est très solide et sa valorisation globale est une des plus élevée du secteur. Un spécialiste expliquera: «C’est un peu surprenant qu’un Président se prononce sur un cas spécifique. C’est un peu irresponsable. Il s’est pris les pieds dans le tapis, il s’est fait avoir par la question». La présidence a tenu à fermer cette polémique au plus vite. L’entourage du président précisera qu’il n’y a aucun projet de cession de la Société générale. Mais que le chef de l’État «a seulement répondu à une question théorique portant sur l’union des marchés de capitaux et l’union bancaire»..
Et tous les élus représentants les Français, ferme leurs gueules, trop occupés à magouiller, ils sont complice de ce qui se passe, alors qu’ils pourraient engager une procédure de destitution de ce minable qui passe son temps à semer la zizanie et détruire tout ce qu’il touche, comme un déséquilibré.
Pas si bête le Choupinet (son surnom officiel au parti socialiste) il a vendu Alstom mais en le ruinant d’abord pour que ça marche plus facilement, grâce aux « conseilleurs » de chez Mc Kinsey qui s’est grassement rémunéré dans l’affaire et bien entendu lui n’a rien perdu sur un si beau marché, ne serait-ce que ces braves conseilleurs venus l’aider gratos pour la Présidentielle, mais Arcelor, Pechiney, Alcatel, Lafarge, chantiers de l’Atlantique, ne sont pas partis sans laisser quelques traces également. Depuis que ce cher Thierry Breton a autorisé le copain Rothschild à récompenser ses bons éléments dans les paradis fiscaux comme Jersey ou Guernesey, j’imagine que certains comptes y sont rondelets…
Il esst fou de mec. Il ne sait plus ce qu’il dit. ca confirme une chose : c’est qu’il n’aime pas la France et les Francais. Il a vendu Alsthom aux américains, l’aeroport de Toulouse aux Chinois et la concession des barrages hydroélectriques aux Allemands. Il veut declarer la guerre aux russes en envoyant des soldats francais en Ukraine. C’est une salopard, une vermine.