Emmanuel Macron ©Alamy
Les consultations ont commencé avec le NFP, accompagné de Lucie Castets, à 10h30. Selon un communiqué de la présidence, Emmanuel Macron est «du côté des Français, garant des institutions» et de «l’expression de leur vote». L’Élysée confirme ainsi la nomination d’un Premier ministre à la suite de ces échanges.
Vrais consultations ou simplement gagner du temps
La parenthèse enchantée que vit Emmanuel Macron va bientôt se refermer. Il dirigeait le pays sans Premier ministre, sans gouvernement en fonction officiel, et battant presque le record de longévité d’une présidence sans exécutif depuis la IVe République. Cependant, devant la pression croissante des partis, le chef de l’État va devoir se résoudre à nommer le prochain locataire de Matignon. Après le NFP vendredi matin, les représentants du camp présidentiel (Renaissance, Horizons, MoDem, Parti radical), de l’UDI, des Républicains (LR) et du groupe centriste Liot seront également reçus vendredi, avant le RN et le parti d’Eric Ciotti lundi.
Toujours selon l’Élysée, l’objectif de ces consultations est de rechercher une «majorité la plus large et la plus stable» fixé par Emmanuel Macron en juillet. Elles ont pour but «de savoir dans quelles conditions les forces politiques peuvent atteindre cet objectif». Et d’ajouter que «la décision de nomination du ou de la Première ministre sera prise en considération de ces deux critères-là».
Éviter à tout prix les mentions de censures
Le communiqué poursuit en expliquant que «le président est du côté des Français, garant des institutions et surtout de l’expression de leur vote le 7 juillet». Et c’est «fort de ce rôle constitutionnel qu’il va rencontrer les partis», assène-t-on. Le chef de l’État semble toujours exclure de nommer Lucie Castets, la macronie, la droite comme le Rassemblement national menacent en effet d’une motion de censure en cas de gouvernement NFP comprenant des ministres issus de La France insoumise. «La stabilité» voulue par Emmanuel Macron, c’est «la capacité pour un gouvernement à ne pas tomber à la première motion de censure déposée», indique le bureau de la présidence.
Macron du côté des Français il me fait rire plus tot coté des Arabes ………..
il va choisir sa femme comme P-ministre,peut etre son chauffeur ou tourner en rond avant la prochain Guerre
Au point où l’on en est, l’essentiel c’est quand même d’évincer la catastrophique Castets.
Macron reçoit des politiciens juste pour montrer qu’il est à l’écoute, mais je mettrais mon billet qu’il a déjà fait son choix !!
Il faut surtout que Macron vote un 1er ministre de droite sinon c’est la cata ce que melenchon ne comprend pas c’est que beaucoup de français ont voté LFI pour faire barrage au RN pas pour se politique
Quelle outrecuidance hypocrite
Incroyable
Ah bon pourquoi ? Le vote lors des élections législatives a vu que 11 millions de votants se sont exprimés en faveur du RN, qui plus est est le premier groupe politique de l’Assemblée Nationale, que ce groupe est exclu du bureau de l’Assemblée Nationale et que dés lors certains députés du NFP ne reconnaissent pas les votes de ces 11 millions d’électeurs, de plus lors de l’élection à la Présidence de l’AN a permis à Mme Yaël Braun Pivet d’être réélue, alors qui est légitime à vouloir former le prochain gouvernement.
Depuis quand Macron se souci-t-il du résultat des urnes ? Il nommera avant tout un premier ministre à sa botte.
Bien sûr
Effectivement il doit reconnaître que 11 millions d’électeurs ont choisis le RN, première force politique à l’Assemblée Nationale, AN qui est la représentation de la volonté du Peuple.