Mardi 10 janvier, c’est encore la Cour des comptes qui alerte sur les dépassements de budget exorbitants souhaité par le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques.
Le Cojop met en avant l’inflation
La Cour des comptes, présidée par Pierre Moscovici, n’apprécie que très peu les manœuvres des dirigeants du Comité olympique pour augmenter la facture de 400 millions d’euros à la mi-décembre. Le rapport qui devait être remis au Parlement ne pourra pas être mis à jour à temps pour une présentation en janvier. Par conséquent, Moscovici ne reviendra qu’en juin devant les députés et sénateurs afin d’examiner la soutenabilité financière d’un projet, dont le coût est déjà passé de 6,9 milliards lors de la candidature, à 8,8 milliards aujourd’hui dont 2,3 milliards pour le contribuable.
Les explications du Cojop n’arrivent pas à convaincre. L’institution met cette augmentation sur le dos de l’inflation et aux problèmes d’approvisionnement. Contrairement à ce que Macron avait annoncé cet été, selon les sages de la rue Cambon, il est impossible de prévoir quel sera le budget final des Jeux de Paris.
Des points particulièrement surveillés
Il s’agit de la construction des nouvelles infrastructures sportives, des transports et de la sécurité. Pour la Cour des comptes «il est urgent de signer au plus tôt les conventions d’utilisation des sites et les marchés de livraison actualisés». Sur les deux autres points, la Cour est beaucoup plus inquiète: «la sécurité des Jeux est confrontée à un véritable défi capacitaire, qu’il s’agisse des forces de sécurité intérieure ou, davantage encore, de la sécurité privée». Le rapport indique que le manque d’effectifs ne doit être pallié par des forces publiques. «Pas question que cela soit à la charge des contribuables, prévient Pierre Moscovici. Il faut anticiper». Quant à la question des transports, «certains projets (…) présentent à ce stade des incertitudes sur leur délai de livraison et renforcent la tension sur le réseau existant».
les « con-tribuables » paieront les états d’âme de la mairie de Paris….
C’est aux membres du comité d’organisation et aux contribuables parisiens seuls bénéficiaires de ces investissements à payer l’addition, pas des contribuables de province qui n’en verront pas 1 euro de retombées. Les parisiens et Anne Hidalgo en tête ont voulu ces jeux c’est donc à eux seuls à payer.
Encore de l’argent gaspiller pour le compte du contribuable, la réforme des retraites financeras une bonne partie du coup soit 4 milliards, et le reste dans les poches des corrompu pour soutenir Zélensky est c’est Willa ????????????????????????????????????????????
Oh le complotiste, ne critiquez pas Zélensky. L’agresseur c’est la Russie. Je vois que vous avez le même esprit que ceux qui ne voulaient pas mourir pour Dantzig et qui finalement se sont couchés devant leur maître, un ancien petit caporal autrichien.