Des produits vendus dangereux pour le consommateur
Des propositions de loi ont déjà été déposées par des députés PS et EELV, sans pour autant être votées. Pourtant, les abus dans le domaine du marketing d’influence sont très nombreux, au point où Bercy a appelé à légiférer sur le sujet. D’après le collectif d’Aide aux Victimes d’influenceurs (AVI), les victimes françaises sont de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi certains députés font de la régulation du marketing d’influence leur cheval de bataille.
En effet, de plus en plus d’escroqueries sont relevées dans ce milieu. De plus, le public visé est souvent jeune et/ou méconnaissant le droit en vigueur. Trop souvent, des produits dangereux pour la santé sont proposés à la vente sans qu’il puisse y avoir de contrôle. Par conséquent, une loi proposée par le PS et Renaissance, portée par le député socialiste Arthur Delaporte, sera débattue à la fin du mois de mars à l’Assemblée. Selon BFMTV, elle devrait bénéficier d’une procédure accélérée afin d’être adoptée rapidement.
L’influenceur aura un statut encadrant ses pratiques
La première version du texte qui sera proposée dispose que: «Toute personne, physique ou morale, qui, à titre onéreux ou en échange d’un avantage en nature, produit et diffuse par un moyen de communication électronique des contenus qui visent, à l’occasion de l’expression de sa personnalité, à promouvoir des biens, services, ou une cause quelconque». Le projet de loi prévoit également d’encadrer aussi le statut des agents d’influenceurs, comme Berdah, et ainsi de forcer les expatriés, dont un grand nombre sont installés à Dubaï, de définir un représentant légal sur le territoire français afin de ne pas échapper à la justice en cas de violation de la loi.
Outre la pratique du «dropshipping», les députés souhaitent également interdire la promotion de certains produits ou services tels que l’alcool, les paris sportifs, ou encore les dispositifs de santé et de chirurgie esthétique. Le législateur veut aussi obliger les influenceurs à préciser lorsqu’une publication est sponsorisée. Enfin, les députés espèrent aussi que les réseaux sociaux prendront leur responsabilité mas ceci est probablement un vœu pieux!
Il faut arrêter avec ça :
1) Les réseaux sociaux ne sont pas la réalité, jamais compris l’addiction de certains à ça et s’ils deviennent dépendants hé bien c’est leur problème, pas celui d’autrui;
2) L’état est un des premiers influenceurs avec différentes « incitations » et autres politisations de domaines (enseignement ?) qui ne devraient pas l’être.
Je répète, il faut arrêter de réglementer et au contraire déreglementer.
J’ai trouvé, les influenceurs, nous pourrions les remplacer par des cabinets de conseil, oui c’est cela des cabinets de conseil, comme cela nos dirigeants pourraient être incités en toute impunité : les inciteurs ne sont pas poursuivis : ils encaissent Ah ah ah …
Très bonne initiative car gagner beaucoup d’argent à diffuser n’importe quoi le monde devient « abruti ». Tout est bon pour appâter et ce sont souvent les jeunes qui en paient les frais et croient à tout ce qui sort du web. Quelle désolation d’en arriver là.