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Un incident inhabituel au commissariat de Vannes a conduit à la condamnation d’un homme qui, pour protester contre sa situation administrative, a choisi un mode d’expression particulièrement choquant. Ce geste, qualifié par son avocat de « contestation », soulève des questions sur la prise en charge des personnes vulnérables présentant des troubles psychologiques.
Un acte d’exhibition qui a choqué les forces de l’ordre
Le 1er septembre dernier, un ressortissant afghan de 33 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Vannes suite à une agression sexuelle. La situation a pris une tournure inattendue lorsque l’homme s’est entièrement déshabillé devant trois fonctionnaires de police féminines.
Face à ce comportement, les trois policières ont été profondément choquées. Leur avocate a d’ailleurs souligné la nature exceptionnelle de cet incident : « C’est la première fois, en 12 ans de service, que ces trois femmes connaissent une telle situation ».
Une justification troublante
Lors de son procès en comparution immédiate, l’homme a tenté d’expliquer son geste par sa volonté de retourner dans son pays d’origine.
« Je me suis mis nu pour que les policiers comprennent ma situation. Si on ne me renvoie pas en Afghanistan, je recommencerai à chaque fois à me mettre nu », a-t-il déclaré.
Son conseil a précisé qu’il s’agissait d’un acte de protestation plutôt que d’une provocation à caractère sexuel : « C’est un geste de contestation, sans provocation à caractère sexuel. Il a un titre de séjour en France, mais il faut qu’il y renonce pour pouvoir repartir dans son pays. Mais en attendant, il a besoin de soins ».
Un profil psychologique préoccupant
Les éléments portés au dossier révèlent une situation personnelle complexe. L’homme est placé sous curatelle depuis le 17 juillet dernier, ce qui témoigne d’une vulnérabilité reconnue par la justice.
L’expertise médicale réalisée fait état de troubles de la personnalité significatifs et mentionne également une tentative de suicide. Les réponses fluctuantes de l’individu lors des examens psychologiques confirment une instabilité préoccupante.
Un passé judiciaire déjà marqué
Ce n’est pas la première fois que cet homme a affaire à la justice française. Il était déjà connu des autorités pour avoir commis une agression sexuelle sur une infirmière à l’hôpital d’Angoulême.
Ce nouvel incident s’inscrit donc dans un schéma comportemental problématique qui soulève des questions sur son suivi médical et sa prise en charge.
La décision de justice
Face à la gravité des faits, le tribunal a prononcé une peine de six mois d’emprisonnement ferme pour exhibition sexuelle. L’homme devra également verser 200 euros de dommages et intérêts à chacune des trois policières victimes de son comportement.
Cette condamnation intervient dans un contexte personnel particulier puisque l’homme a exprimé son souhait de retourner en Afghanistan pour retrouver sa femme et ses cinq enfants, malgré la situation politique complexe de ce pays.

C’est rigolo. Peut-être aurait-il fallu l’informer que le porno se tourne en salle fermé et le public pour son casting très mal choisi. Dans tous les cas il n’y a pas mort d’homme alors bon voyage et bon retour au pays.
Bon voyage de retour ! (Il faut tout de même vérifier, avant, s’il ne laisse pas quelques casseroles dans notre beau pays).
La France est devenue un paillasson depuis plusieurs années tout le monde s essuie les pieds dessus dans tous les domaines. Pour une fois qu’il y en a un qui veut partir de lui-même ,notre gouvernement va bien être capable de lui compliquer la vie pour son retour.
Mais puisqu’il veut retourner dans son pays, pourquoi vouloir à tout prix le soigner chez-nous ? Offrons -lui le voyage de retour, ça coûtera moins cher !!!
Bon, je vais faire preuve de tolérance envers l’acte de cet afghan, c’est quand même moins grave de montrer sa zigounette aux policières que de les agressées avec un couteau, et les blessées gravement.
Conclusion, cette émigration de masse ne crée que des problèmes de toutes sortes.