Une femme s’est présenté d’elle-même dans un hôpital psychiatrique, jeudi 16 mars, à Reims, en racontant qu’elle a tué son fils. Le chat de ce trentenaire a été retrouvé éventré à côté de lui.
Hospitalisée de son plein gré
Jeudi 16 mai, une mère se rend dans une structure de l’Établissement public de santé mentale de la Marne, à Reims. Elle y est hospitalisée de son plein gré. Sur place, elle raconte aux médecins qu’elle a tué son fils. Ces derniers finissent par prévenir la police.
Le lendemain, les autorités se rendent chez le jeune homme. Comme personne n’ouvre la porte, les pompiers passent par la fenêtre. Ils retrouvent cet homme d’une trentaine d’années décédé, à côté de son chat, qui est lui éventré. Le chien a quant à lui été retrouvé vivant.
Tué par arme blanche
Un médecin légiste et le procureur de la République de Reims assisté d’un collègue se rendent sur place. L’homme aurait été tué par arme blanche. L’autopsie devra le confirmer.
« Garde à vue levée au regard de sa situation psychiatrique et qui reprendra « dès que possible ». Le procureur de la République de Reims a ouvert une enquête pour meurtre, confiée à la police de Reims », conclut France Bleu.
Merci pour tous vos commentaires qui sont à mon sens les seules solutions pour nous débarrasser de tous ces multi-récidivistes qui coûtent chers dans nos impôts. Quelle honte cette justice pour les délinquants.
Oui pour la peine de mort, oui pour un référendum. On a le droit de s’exprimer. Cependant, je pense quand même que cette femme qui a tué son fils et éventré le chat est vraiment zinzin.
Si on y réfléchit bien, tous les meurtriers sont irresponsables. Donc…
tout à fait d’accord avec Aumont !
Pourquoi garder des nuisibles qui nous coûtent très chers, qui sont souvent loin d’être fous comme on nous le laisse entendre et qui recommencerons leurs crimes, peut-être même au sein d’une structure spécialisée.
OUI LA PEINE DE MORT !
D’accord avec Aumont pour les fautes d’orthographe aussi ???? Les vôtres et les siennes bien entendu !!
Qu’on rétablir la peine de mort ça fera du vide dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques qui re cesse de recevoir des soi-disant innesponsables…
Avec la pandémie et la mise sous cloche du pays Macron a déclenché un séisme psychiatrique et comme on manque de structures hospitalières la folie gagne du terrain, chaque agression, meurtre est requalifiés en trouble psychiatrique. Il va bien falloir rendre des comptes un jour sur la politique sécuritaire de ce pays et juger les autorités en cause.