Un homme a été mis en examen pour « traite d’être humains commise en échange d’une rémunération ou d’un autre avantage », samedi 29 avril aux Ulis. Il est accusé d’avoir fait vivre son employé dans des conditions déplorables et de l’avoir maltraité. Ce dernier vivait dans la cave du bar PMU de son patron.
Ulcère au tibia
Une perquisition a eu lieu samedi 29 avril au Relais des Ulis, d’après les informations du Parisien. « À deux pas de l’important point de deal du quartier Mondétour, ce café symbolise la décrépitude de cette galerie commerçante », détaille le quotidien. Dans cette affaire, une enquête pour « traite d’être humains commise en échange d’une rémunération ou d’un autre avantage » a été ouverte.
Un homme de 61 ans, employé de ce bar, d’origine africaine semblait souvent épuisé, quand il ne boitait pas. « Un jour, je lui ai demandé si je pouvais être servi car j’attendais depuis longtemps, il m’a répondu : « Attends, regarde pourquoi je mets du temps » », en lui montrant sa jambe qui a été blessée, comme le raconte un client régulier. Il a été hospitalisée pour un ulcère au tibia.
Une autre enquête pour blanchiment
L’homme vivait dans une cave au sous-sol, à peine éclairée. Il n’a que de l’eau froide et ses affaires sont entassées dans des sacs à même le sol. « C’est un homme discret, il parle très bien français, comprend tout, mais ce n’est pas le genre à se plaindre », d’après une commerçante. Le maire des Ulis, Clovis Cassan se dit « horrifié ».
Le patron du Relais est quant à lui connu des services de police, pour « soumission d’une personne vulnérable à du travail clandestin » il y a dix ans. Au sous-sol, les enquêteurs ont par ailleurs retrouvé une quinzaine d’ordinateurs et des liasses de plusieurs milliers d’euros en espèces. Il pourrait s’agir de blanchiment d’argent via cryptomonnaie. Une autre enquête a été ouverte pour blanchiment.
Cette triste affaire révèle la situation des « travailleurs les plus vulnérables se retrouvent à la merci d’employeurs abusifs, dont ils dépendent pour leur nourriture, vêtements, toit, parfois leurs soins ou leurs documents d’identité », déplore le Comité Contre l’Esclavage Moderne (CCEM), qui assiste de nombreuses victimes qui dorment « dans les caves des restaurants » ou encore « les arrière-boutiques des épiceries ».
Faut pas demander la nationalité du patron du bar !! Ont devrait lui faire subir la même chose pendant un an , et une fois fini , direction la prison pendant de longues années !! Mais vu qu’il est gavé de fric malgré le fait qu’une partie est été retrouvée , il aura les moyens de faire appel a un avocat ténor du barreau , qui saura trouver les mots pour minimisé les faits !! C’est ça la justice moderne et actuelle , plus ça va , plus ont fait comme les Etats Unis , t’a du fric tu t’en sort , t’en a pas , tu crève !!
Bonsoir MAIS C’EST ULTA HORRIBLE IL FAUT LE METTRE EN PRISON ET SÛON LUI FAIT PAYER AVEC SON ARGENT ET CES JOURS DE PRISONS C’EST LUI QUI DOIT PAYER et NON LE PUBLIC