150 personnes ont été évacuées par la police, après un incendie dans un camp de Roms, à Fresnes (Val-de-Marne), dans la nuit de mardi 24 janvier à mercredi 25 janvier. Parmi les décombres, le corps d’une femme a été retrouvé. Son mari était connu pour violences conjugales.
Le mari est armé d’un couteau
Autour de minuit, les pompiers et les forces de l’ordre parisiennes sont appelés pour intervenir sur un incendie, qui se propage dans un camp de Roms, à Fresnes. 150 personnes sont évacuées en moins de 30 minutes, vers un terrain de rugby situé à proximité. « Beaucoup d’enfants » sont présents, relate Le Figaro. La moitié du camp a été détruite, mais aucune victime n’est à déplorer. Le feu serait parti d’une petite chapelle de fortune, puis s’est propagé aux diverses maisons, faites de planches et de matériaux de fortune.
Mais alors que les lieux sont inspectés, deux heures plus tard, les pompiers retrouvent dans les décombres, le corps calciné d’une femme. Près d’elle, ils retrouvent son mari, armé d’un long couteau de cuisine. Il est interpellé et placé en garde à vue.
Un comportement suspect
Cet homme de 33 ans est décrit par des témoins sur place comme étant connu pour commettre des « violences régulières », à l’encontre de sa femme, qui était quant à elle âgé de 39 ans. « Il buvait tous les jours et se droguait aussi, raconte un habitant de ce bidonville. Hier soir, c’était bizarre. On est tous sortis à cause du feu et lui était déjà sur le parking devant avec deux sacs comme s’il partait », confient-ils encore, au Parisien. Par ailleurs, « il avait deux couteaux sur lui et aurait découpé la victime », d’après la même source.
Une enquête pour « meurtre par conjoint, destruction volontaire par incendie et modification de l’état des lieux d’un crime ou d’un délit pour faire obstacle à la manifestation de la vérité » a été ouverte, selon le parquet de Créteil.
Et oui c’est la nouvelle France que nous allons laisser à nos enfants, des assistés bon à rien et fainéant qui détruisent nos valeurs de Gaulois