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Un drame s’est déroulé en pleine nuit dans les rues de Saint-Denis. Ce qui ressemble à un règlement de comptes a fait un mort et une blessée, laissant les enquêteurs face à de nombreuses questions. L’affaire, confiée à la brigade criminelle, s’oriente vers un homicide en bande organisée.
Attaque nocturne dans un véhicule à l’arrêt
Dans la nuit de lundi à mardi, une scène tragique s’est déroulée à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis. Un homme de 32 ans, résident de la commune, a été mortellement touché d’une balle à la tête alors qu’il se trouvait au volant d’un véhicule immobilisé.
Les secours sont intervenus peu après 1h30 du matin, mais n’ont rien pu faire pour sauver la victime.
Une passagère également touchée
Une femme de 34 ans, qui se trouvait dans le même véhicule que la victime, a également été atteinte par les tirs. Blessée à la cuisse, elle a été rapidement transportée vers un centre hospitalier.
Selon les informations communiquées, son pronostic vital n’est pas engagé, mais son témoignage pourrait être crucial pour faire avancer l’enquête.
Une enquête pour homicide en bande organisée
Face à la gravité des faits, le parquet de Bobigny a ouvert une enquête pour « meurtre et tentative de meurtre en bande organisée ». Les investigations ont été confiées à la brigade criminelle, spécialisée dans ce type d’affaires complexes.
Des indices sur place
Les forces de l’ordre ont retrouvé une arme de poing à proximité immédiate du lieu du crime. Cette découverte pourrait constituer un élément déterminant pour l’enquête en cours.
Selon une source policière ayant communiqué avec l’AFP, les auteurs des coups de feu ont pris la fuite immédiatement après les faits, disparaissant dans la nuit avant l’arrivée des secours.
Un contexte à éclaircir
Les motivations de cette attaque demeurent pour l’instant inconnues. Les enquêteurs devront déterminer s’il s’agit d’un règlement de comptes, d’un conflit personnel ou d’une autre forme de violence organisée.
Le parquet de Bobigny, qui a confirmé les informations à l’AFP, n’a pas encore communiqué sur d’éventuelles pistes privilégiées ou sur le profil précis des victimes.

Scènes de la vie quotidienne en Seine St Denis qui n’est plus vraiment la France depuis que LFI à remporté 9/10èmes des sièges de députés et que les communes dirigées par l’islam comme Stein ou Trappes sont de plus en plus nombreuses. ils l’ont voulu, notre état de droit leur a offert sans résister… cette région est devenu le point de convergence de l’immigration clandestine et et le point d’exode des populations françaises qui refusent le voile et le Hallal (qu’elle soit de l’immigration ou non)… enfin de celle qui peut financièrement s’en échapper.
C’est la France d’aujourd’hui et on y vient de plus en plus avec la responsabilité de certains dirigeants et responsables et une partie du peuple…..
Lorsque j’habitais dans la région parisienne dans les années 70, Saint-Denis était une ville très agréable avec de nombreuses boutiques ! Maintenant c’est pire qu’à Chicago, et l’on dégaine à tout va !!!
J’avais de la famille a st denis qui avait un commerce, ils ont été obligés de déménagés dans les années 2000,car le quartier a été livrer a la racaille.
Mes prédécesseurs ont parfaitement résumés cette nouvelle purification.
À la prochaine…
On a un gvt et une justice que tout le monde nous envie, il fait bon vivre, on sent qu’on est protégé en France, à bientôt pour la prochaine séance qui va arriver rapidement…..
En fait, c’est une façon de rétablir la peine de mort supprimée par la Mite Errant, l’homme à la Francisque, et son ami Badinter.
C’est le nouveau Chicago ! Le pays est au mains des bandits et la police est impuissante, les policiers sont les seuls qui n’ont pas le droit d’utiliser leurs armes. Nous sommes fichus, merci la gauche et les gouvernements successifs incompétents ou traitres, voire les deux.
Qu’ont t’ils fait de Saint Denis ??
L’un des berceau de notre civilisation chrétienne française !!!
Les coupables ont les connaît, les descendants de Saladin, et leurs complices collabos actuels ….
Maintenant en France là devise c’est on ne discute plus on tue, c’est plus rapide et pas de pertes de temps.
Laissons les faire, il faut même les aider car, grâce à eux, on peut lutter contre la surpopulation des prisons