Le gendarme, auteur du tir, a été placé en garde à vue @AdobeStock
Les gendarmes étaient intervenus chez la victime suite à une demande de la police municipale. Pierre Couttenier, procureur de la République de Draguignan, expliquera que celle-ci a fait appel à la gendarmerie «suite à des faits d’outrage sur personnes dépositaires de l’autorité publique». Le magistrat ajoutera que cet homme était connu pour «ses antécédents judiciaires et susceptible de présenter des troubles mentaux».
Il jettera un liquide inflammable sur les gendarmes
Toujours selon la même source, nous apprendrons que lorsque les hommes du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie nationale se présentent au domicile de la victime, elle leur jettera «un produit inflammable» qui se déversera aussi dans les parties communes de la copropriété. Craignant que l’individu ne mette le feu à tout l’immeuble, les gendarmes décident de forcer la porte de son domicile. Cependant, l’homme, dont l’identité n’a pas été communiquée, se jette sur les militaires «armé d’un couteau». Devant cette menace imminente, un des gendarmes sort son arme de service et fait feu sur l’assaillant. Il le blessera mortellement.
Le gendarme, auteur du tir, a été placé en garde à vue
Le parquet de Draguignan a ouvert une enquête de flagrance du chef «d’homicide volontaire par personne dépositaire de l’autorité publique» et a confié les investigations à l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) et à la section de recherches de Marseille. Le communiqué du procureur Pierre Couttenier indique que l’IGGN devra déterminer «les conditions de l’intervention des gendarmes et de l’utilisation de son arme par le tireur». Quant à la section de recherche, elle aura pour mission de déterminer les faits initiaux afin de justifier l’intervention du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie.
Pourquoi ne nous donne-t-on pas le nom de l’individu ? certainement que son prénom n’est pas Claude ou Anatole. Et pourquoi le gendarme est-il mis en prison ? les forces de l’ordre n’ont plus le droit de se défendre, uniquement de ce faire blesser voire tuer. Ce gouvernement est totalement incompréhensible, que cherche-t-il ?
Il a bien fait, il nous a débarrasser d’un meurtrier en puissance !! Et si le procureur n’est pas content, la prochaine fois il se déplace en personne plutôt que d’envoyer une équipe des FDO sur place !!
Tout à fait, qu’il aille recevoir son coup de couteau. Personnellement vu les peines demandées par les procureurs et les peines appliquées par les juges, je préfèrerais que ce soit un juge ou un juge d’application des peines qui y aille.