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Dans un village de Haute-Garonne, une famille a frôlé la catastrophe lorsqu’une balle de chasse a traversé la fenêtre de la chambre de leur bébé, s’arrêtant à seulement deux mètres de son lit. Cet incident, qui aurait pu virer au drame, a semé la panique au sein du foyer et relancé les inquiétudes sur la sécurité entourant la pratique de la chasse à proximité des habitations.
Une balle perdue sème la panique
Le soir du 9 février restera gravé dans la mémoire des habitants d’une maison familiale située à Montesquieu-Volvestre. Alors que les parents s’apprêtaient à coucher leur enfant de 18 mois, un coup de feu a retenti, suivi d’un bruit de verre brisé. Un projectile venait de pénétrer dans leur domicile, traversant une fenêtre avant d’aller se loger dans le mur de la chambre du bébé.
Les instants qui ont suivi furent marqués par la stupeur et la peur. Le père, en inspectant les dégâts, a découvert avec effroi que la balle s’était arrêtée à une distance dangereusement proche de son enfant. En sortant, il est tombé nez à nez avec un chasseur, qui, selon lui, serait à l’origine du tir ayant failli coûter la vie à son fils.
« On veut que justice soit faite »
La détresse des parents est palpable. Ils dénoncent les dangers d’une chasse trop proche des habitations. « Notre fils a vu les éclats du mur sur son lit, il est terrorisé. Et nous, on vit avec cette angoisse permanente […] On aime notre maison, on ne veut pas partir. Mais on exige que justice soit faite », confie le père lors d’une interview. La famille réclame une enquête approfondie et des mesures renforcées pour garantir la sécurité des résidents face aux risques de ce type d’accident.
Enquête et mesures de sécurité
Face à la gravité des faits, une enquête a été ouverte afin de déterminer l’origine du tir et les circonstances exactes de l’incident. L’Office français de la biodiversité a été sollicité pour analyser la situation et évaluer d’éventuelles infractions aux règles de sécurité en vigueur.
Ce drame évité de justesse rappelle l’importance de protocoles de sécurité stricts et la nécessité d’une sensibilisation accrue des chasseurs aux risques de leur activité lorsqu’elle se déroule à proximité des habitations.
Plus qu’un test d’alcoolémie, c’est un test de Q.I qu’il faudrait faire.
Bizarrement, il y aurait beaucoup beaucoup beaucoup moins de permis délivrés…
Déjà, ils ont l’obligation de toujours tirer vers le bas, jamais parallèle au sol et encore moins vers le haut… Ce qui a du arriver ici.
Ils n’appliquent que très rarement cette règle obligatoire, et très importante pour éviter les accidents.
Et quand ils n’arrivent pas à tuer du gibier, ils se « vengent » sur les chats, les rapaces, hérons, etc…
De vrais sacs à merde…
Il faut interdire le chasse et favoriser les prédateurs naturels de gibiers, qui eux réguleront efficacement les populations de sanglier, chevreuils, etc…
La nature n’a jamais eu besoin de l’humain, c’est même le contraire…
Ou alors, qu’ils lancent la saison de chasse aux chasseurs 😁👍
faire un test antialcoolique et stupéfiants a tous les chasseurs avant la chasse
Bcp sont des fous de la gachette d’ailleurs quand on voit qu’il y a des chasses privées et fermées et que la bête n’a aucune solution de s’échapper, ils tirent à bout portant, cela veut tout dire et ils se croient malins ses débris alcooliques……
les 99% des chasseurs sont des fous dangereux dès qu’ils ont une arme en main. Ils se croient tout permit, mais le pire est qu’ils ne savent pas tirer.
Et la famille a raison !
En taule, indemnités pour préjudices et retrait du permis vie !!! 🙁
L’ont-ils fait au moins soufflés dans le ballon ?