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Un drame familial a secoué la ville de Montpellier où un père de famille a été arrêté suite à un acte d’une extrême gravité commis sur son propre fils. Les circonstances entourant cet événement révèlent un contexte troublant mêlant problèmes de santé mentale et consommation d’alcool, alors que les versions des témoins divergent sur la nature intentionnelle ou accidentelle du geste.
Un acte d’une violence extrême constaté par des témoins
Les faits se sont déroulés dans un immeuble résidentiel de Montpellier, où un homme de 49 ans a commis l’impensable. Selon les premiers éléments de l’enquête, le père aurait jeté son fils de 7 ans par la fenêtre du deuxième étage.
Un témoin de la scène a livré un témoignage glaçant sur le déroulement des événements : « Il a pris l’enfant dans ses bras et l’a jeté par-dessus la rambarde ».
La justice a réagi avec fermeté face à la gravité des actes. L’homme a été mis en examen pour tentative d’homicide volontaire sur mineur de moins de quinze ans et immédiatement placé en détention provisoire en attendant la suite de la procédure judiciaire.
Des versions contradictoires sur les circonstances du drame
La défense de l’épouse
Face aux accusations, l’épouse du suspect présente une version radicalement différente des faits. Selon elle, il ne s’agirait pas d’un acte intentionnel mais d’un tragique accident. Elle a notamment affirmé que « l’intention du père n’était pas de le lâcher », suggérant une mauvaise manipulation plutôt qu’un geste délibéré.
L’amnésie du père mise en avant
De son côté, le principal intéressé affirme n’avoir aucun souvenir des événements. Il attribue cette amnésie à un traitement médical récemment prescrit, déclarant ne pas avoir de souvenirs « des faits en raison du traitement médical qu’il prend depuis peu ».
État de santé de l’enfant et contexte du drame
Miraculeusement, malgré la chute depuis le deuxième étage, l’enfant s’en sort avec des blessures relativement limitées. Les médecins ont écarté les suspicions de fracture et ont délivré une Incapacité Totale de Travail (ITT) de quinze jours. Fait notable, le jeune garçon ne garde aucun souvenir de sa chute, ce qui pourrait être lié à un mécanisme de protection psychologique face au traumatisme.
L’enquête a également révélé des éléments contextuels importants. Le père souffrirait de problèmes psychiques préexistants et avait consommé de l’alcool au moment des faits, une combinaison potentiellement dangereuse avec son traitement médical.
Les gens deviennent de plus en plus fous ! La société sombre de plus en plus dans la folie, c’est catastrophique ! Un vent de folie souffle sur la planète ……….
La mère n’a rien dit puisqu’elle défend son conjoint. C’est quand même incroyable. Le gamin s’en tire relativement bien. Tant mieux pour lui. Mais il faut écarter le père de son fils. Il l’a fait une fois. Bis répétita. Lui enlever le droit parental entre autre.
Ben…le mieux, c’est de balancer le père du même endroit….
Assez d’accord car je crains qu’il ne recommence!!!!
ou fournir un parachute au gosse !