Les faits se sont produits mardi mais le jeune homme a pu être interpellé dès le lendemain. Il s’était positionné mardi matin devant l’établissement et a procédé au tir de mortier d’artifice visant l’étage de la direction. Suite à cette attaque d’une extrême violence, la majorité des professeurs a décidé d’arrêter le travail en signe de protestation. L’identité de l’élève n’a pas été révélée à la presse.
Des tensions qui n’ont rien à voir avec le port de l’abaya
Ce n’est pas la première fois qu’un lycéen tire au mortier sur cet établissement. Un premier tir avait eu lieu le 19 septembre et, là aussi, l’auteur était un élève renvoyé du lycée. Il comparaîtra devant les juges des enfants le 19 décembre. Si ce lycée est connu pour être un établissement réputé «difficile», les tensions connues lors de cette rentrée sont à leur paroxysme. Le sentiment d’impunité amène certains «jeunes», encore galvanisés par les émeutes de juillet, à ne plus montrer aucune limite. Ici, le tir ciblait la proviseure mais ne l’a pas touchée. Toutefois, la panique a entraîné un mouvement de foule qui a blessé un élève. Le procureur a précisé que les chefs d’enquêtes retenus sont «violences avec usage d’une arme sur personne chargée de mission de service public, intrusion dans un établissement scolaire et mise en danger d’autrui».
Si Vincent Smith, professeur d’anglais, demande à l’académie «quelque chose de tangible» tout en indiquant qu’il reprendra les cours «avec des renforts à l’entrée», il explique que «beaucoup d’adultes et d’enfants sont secoués», «c’est quand même exceptionnel». Un de ses collègues, qui ne souhaite pas que son identité soit révélée, souligne qu’«on a toujours eu des problèmes à Rostand, mais pas à ce point-là, avec une telle intensité dès la rentrée».
La proviseure avait déjà été visée
Selon une source proche du dossier, le mineur interpellé n’avait jamais été condamné mais était convoqué à paraître devant le juge des enfants pour des faits similaires. Des voix au sein de l’établissement se sont levées pour demander pourquoi il était en liberté. Une réponse sécuritaire a été proposée, précise Othman Nassrou, vice-président de la région Ile-de-France. Une brigade de sécurité sera déployée jusqu’aux vacances de la Toussaint et un tourniquet sera installé à l’entrée du lycée.
Ce violent n’a rien à faire dans un lycée, il risque de donner de mauvaises idées aux autres. Il relève de l’autorité d »une maison de correction, s’il continue dans la violence, direction la Guyane avec les gars de l’armée en exercice dans la forêt.
Ils trouvent encore des « volontaires » pour aller enseigner dans des endroits tellement gangrénés par la violence ? Je ne sais pas où on va mais on y va et c’est de pire en pire !! No limit, comme on dit ! Eh oui ! Que risque ce « lycéen » ? Une tape sur les doigts ? On va lui dire : ce n’est pas bien ce que tu as fait ». Un rappel à la loi ? Pour ce que ça va lui faire comme effet !!
Pauvre France !!!
Tant que nous aurons une justice composee essentiellement de faineants, de sans couille, de bon à rien, de froussards et de pro racailles, alors , rien ne changera, si ce n’est en pire……A sa decharge , il faut preciser que les 5 derniers gardes de sceaux étaient TOUS, des nullites souvent ayant eu des problemes de justices ou ayant reconnu diverses magouilles financieres, n’est-ce pas monsieur Ducon Moretti!!!
C’est décourageant, et après nos rigolos de politiques vont s’étonner de l’avancé du RN! Ce n’est pas au Karcher qu’il faut passer la banlieue , mais à la kalachnikov!
Évidemment on n’a pas son nom, ni même son prénom!!! Sûrement un Bernard ou un Patrick bien de chez nous! Curieusement, dernièrement j’ai lu les accusations faites à des élus et des policiers, on a leur nom et prénom, tout juste si on n’as pas leur adresse!!! Cherchez l’erreur français…mais ils vont nous prendre encore longtemps pour des cons comme ça????
EN FAIT, ILS N’EN ONT RIEN A PéTER DE CE QUE NOUS PENSONS TOUS, ET ILS S’éTONNENT SI CERTAINS VEULENT FAIRE JUSTICE EUX-MêMES !!!
« si on n’a pas », en bon français!
Sûrement un Suédois ou un Danois ? Ou alors ont va êtres accuser de racisme !!
En finir avec les droits de l’homme lâche à la française ! A 12 ans , ils violent. aussi ! Et s’ils ne sont pas judéo-chrétien, c’est fini pour eux …………………………………………….. . Etre sasn aucune pitié et sasn droit de l’homme est un devoir !
Pas de pitié pour ce genre d’individu. Ils se croient tous permit. Si ce n’est pas un Français, expulsion directe vers le pays d’origine et la famille suit le mouvement.
Un mineur de suédois ?
Libre ?
Certainement avec la complicité du syndic de la magistrature !!!